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GFEN | Annuaire des mouvements pédagogiques français |
Groupe Français d'éducation Nouvelle |
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Coordonnées
14 avenue Spinoza - 94200 Ivry sur Seine
Téléphone : 01 46 72 53 17
Télécopie : 01 46 71 63 38
Adresse électronique : gfen@gfen.asso.fr
Site web : www.gfen.asso.fr
Statut
administratif : Association loi 1901
créée le 9 février 1922
Odette
BASSIS (présidente)
Secrétariat Général
Collectif :
Jacques BERNARDIN, Marie-Claude CHARPENTIER,
Pascal DIARD, Michel DUCOM, Gérard
MEDIONI, Marie SERPEREAU, Jacqueline VAHE-DESGROUAS
et Dominique PIVETEAUD.
Démocratie - écriture - Lecture - éducation Nouvelle - Animation.
Tous capables, tous créateurs !
Le GFEN défend, contre l’esprit de fatalité, l’idée que l’homme est responsable de son histoire ou qu’il peut le devenir. Son pari philosophique se fonde sur le fait que tous les hommes, les enfants des hommes, comme les peuples, ont des capacités immenses pour comprendre et créer, pour auto-socio-construire un savoir vivant et opératoire.
Le GFEN affirme que l’éducation, bien que liée au domaine économique et social, ne saurait être soumise à ses injonctions. Il interroge la notion de réussite scolaire actuelle faite la plupart du temps au prix d’une docilisation, d’une souffrance subjective et de la négation de l’autre. Il constate un déficit de démocratie dans les pratiques éducatives comme dans la société.
Premier élément de la crise de l'enseignement de la démocratie : l'éducation civique et citoyenne peut-elle être imposée par un seul, dans une situation magistrale ? Ne doit-elle pas au contraire être un savoir construit par tous et chacun dans un débat vif et même conflictuel ?
Deuxième élément de la crise : comment croire à la pertinence de la démocratie quand les savoirs disciplinaires présentés comme efficaces sont appris dans les conditions de la soumission au maître et dans celles du pouvoir quasi absolu ?
C’est dans les tout premiers apprentissages que se forgent les habitudes de refouler les questions, de faire semblant, de ne s’en remettre qu’à soi-même et au maître. Vivant en collectif, les enfants apprennent pourtant seuls, sont classés, hiérarchisés un par un, au moment même où, loin de faire une compétition, ils découvrent la pensée cognitive, ce qui est une toute autre affaire.
C’est dans les tout premiers apprentissages que s'apprend le contrôle, cette action centrale de la démocratie, ou que se perd le contrôle ! Contrôler les savoirs conquis cela nécessite d’apprendre à les énoncer, à les verbaliser, à les écrire, à leur donner forme pour pouvoir vérifier leurs effets sur la réalité, et pas seulement sur la réalité scolaire.
C’est apprendre à contrôler l’autre, celui qui apprend en même temps que soi, aussi bien que celui qui prétend apporter le savoir. C’est apprendre à se contrôler lors des surprises qui obligent à changer de point de vue, lors des souffrances qui accompagnent tout changement important, toute révolution copernicienne. Pour cette éducation à l’auto-socio contrôle de l’apprenant, il n’y a aucune place dans les programmes. Cela fait partie de ces savoirs implicites que l’institution réclame et qu’elle n’enseigne pas, et qui deviennent alors ségrégatifs.
Apprendre la démocratie c’est aussi apprendre la représentativité. Comment imaginer un travail de groupe sans son expression, sans l’apprentissage du rapport, sans le respect du point de vue du minoritaire ?
Pour apprendre les choses nouvelles, il faut aussi apprendre les représentations Commune :s sur la question, sous peine de ne savoir distinguer le savoir de l’opinion. Comment le faire lorsque le savoir est présenté comme révélé, juste, et conçu sans hésitation ?
Apprendre la démocratie, c’est apprendre le débat qui complexifie. C’est donc incompatible avec ce qui a paru si longtemps une évidence – pour apprendre il faut aller du simple au compliqué – alors que c’est une monstruosité. Lorsqu’on examine de près l’activité de l’enfant qui apprend : il fait toujours le chemin inverse.
Apprendre la démocratie c’est apprendre la nécessité de la séparation du pouvoir législatif, du pouvoir judiciaire et du pouvoir exécutif : celui de juger n’est pas celui d’agir, et aucun des deux n’est celui de légiférer. Or l’école fait sans cesse dans la confusion des rôles : le même qui prétend exécuter la fonction d’apprendre se prétend aussi juge, il évalue ou punit, et il légifère souvent seul, annonçant parfois des lois changeantes, au gré de son humeur ou de sa nouvelle marotte pédagogique, sans se rendre compte qu’il bafoue un des éléments clefs de toute démocratie : la séparation des pouvoirs.
Savoir et créer, projets de démocratie.
Apprendre la démocratie à l’école c’est donc apprendre la vie coopérative qui institue la règle, la Constitution de la classe ou de l’établissement. C’est déjà beaucoup. Mais lorsqu’on applique la vie coopérative à l’élaboration des savoirs, les enfants ou les adolescents apprennent - aussi bien en mathématiques qu’en gymnastique - que le savoir est d’abord une loi à établir, fut-elle provisoire, et pas une vérité révélée. Lorsqu’ils vivent des démarches d'auto socio construction de savoir, ils construisent aussi la place du jugement intime ou de groupe, et le rôle irremplaçable de l’activité de l’apprenant.
Apprendre à résoudre de manière non-violente les conflits, à élaborer des décisions collectives, apprendre à apprendre ensemble, sont des exigences d’efficacité et de citoyenneté.
Les démocraties ne sont pas seulement des structures. Ce sont aussi des paris sur l’avenir. Aussi n’y a-t-il pas de vie démocratique sans projet qu’il convient d’expliciter. Celui d’apprendre ensemble et de réussir ensemble, celui de résister à l’oppression, celui de vivre ensemble l’aventure du savoir, est un défi qui s’oppose aux tyrannies du «chacun pour soi » inefficaces et prétentieuses. Le projet pose alors avec force la nécessité de la réflexion et des pratiques interculturelles, de la prise en compte de la totalité de la vie des apprenants. En France, la formation des enseignants est incroyablement timide sur ces questions, pour ne pas dire indigente. Où prépare-t-on au travail d’équipe ces futurs enseignants qui n’ont connu que le régime individualiste du concours ?
Enfin, depuis que l’écrit s’est dégagé du sacré pour fonder clairement la possibilité pour tous de penser par écrit, la question de la démocratie s’est enrichie du statut de l’écrivant à l’école, au collège ou au lycée. Immense possibilité apportée à l’école. Mais quand il suffit de recopier - et plus tard de prendre des notes sous la dictée - pour être censé pouvoir apprendre, la démocratie recule face aux savoirs révélés. Copiste docile ou scribe appliqué, on n’est pas citoyen.
Ces questions constituent la naissance du politique chez les plus jeunes, au moment même de leurs apprentissages premiers. L’école contribue donc à préparer l’avenir des démocraties ou la barbarie. Mais ce n’est pas seulement l’avenir qui est en jeu.
Chaque jour, les enfants rapportent dans des millions de familles ces pratiques d’aliénation ou d’émancipation qui marquent un peuple du sceau des fatalités ou d’espoirs vivaces. Chaque jour, ces pratiques marquent politiquement près de neuf cent mille adultes enseignants qui sont des citoyens et des électeurs, bien souvent des militants associatifs, et dont l’autorité reste importante dans la société.
Ainsi c’est dans la fonction principale de l’institution scolaire – la transmission des savoirs - que toute une société peut pervertir sa connaissance de la démocratie ou la rendre opératoire.
Une urgence :
Elle est dans cette quête obstinée de l’émancipation mentale au travers de pratiques en éducation, formation et en tous lieux où peut se jouer la construction de mentalités, comportements et pratiques elles-mêmes transformatrices. Ce qui importe, ce sont les personnes, les humains, où qu’ils soient, dans leur rapport avec une institution
Il n’y a pas d’objet de nos actions, mais des sujets de leurs actions. Tout est là. Et s’il y a objet, dans nos actions (tels le savoir, la culture) c’est justement pour y traquer l’humain qui les a constitué. La prise en compte des identités culturelles complexes est indispensable pour contribuer à lutter contre le racisme et toutes les formes d’exclusion, pour créer les conditions d’une solidarité planétaire, mais aussi pour savoir et créer en enrichissant la société de multiples cheminements.
Mais le socle sur lequel se fonde cet enjeu d’émancipation est le tous capables, qui désigne les potentialités insoupçonnées que porte tout humain, sans discrimination, et donc la possibilité effective – si les conditions en sont créées - de le devenir. Effectivité qui ne peut être «tout- tout de suite».
Deux pôles contradictoires sont en permanence à affronter : l’auto / socio des chemins d’hominisation, et le rapport court terme / long terme.
Il y a paradoxe aussi à maintenir l’essentialité du sujet en même temps que la dimension du « socio ». La tentation est grande et combien facile de la dichotomie : seulement le sujet, ou seulement le collectif. Que serait l'idée « Tous capables ! » s’elle n’était vraie pour chacun, dans une inter-relation qui, pour les uns et les autres en même temps les rapproche et les différencie ?
Ces pratiques, du plus près du quotidien des personnes jusqu’aux grands paris à échelle sociale, sont des jalons, ouvrent des pistes.
Précurseurs
Rousseau, Pestalozzi, Tolstoï, Froebel,
Madame Pape-Carpentier, Pauline Kergomard, Ferrière, Maria Montessori, Ovide Décroly,
Kerchensteiner, Dewey, Miss Parkhurst, Washburne, Makarenko, Janusz Korczak…et
en 1932, Congrès de Nice avec Langevin, Wallon, Piaget, Célestin Freinet,
Montessori, un ministre et 2500 congressistes.
Des livres
Les ouvrages du GFEN parus depuis 1997 :
"Enseigner
l'histoire à l'école, cycle
3", Alain Dalongeville, Hachette, 1998
"Réussir en langues : un savoir
à construire", Collectif, Chronique
Sociale, 1999
"Apprendre en projets", Michel
Huber, Chronique Sociale, 1999
"Les chemins des savoirs en maternelle",
Michèle Libratti et Christine Passerieux,
Chronique Sociale, 2000
"L'écriture, ça émancipe",
Secteur Poésie-Ecriture du GFEN,
2000
"(Se) former par les situations-problèmes",
Alain Dalongeville et Michel Huber, Chronique
Sociale, 2000
"Construire ses savoirs, construire
sa citoyenneté", Collectif,
2ème édition, Chronique Sociale,
2000
"Repères pour une éducation
nouvelle", Collectif, Chronique Sociale,
2001
"Comprendre l'enfant apprenti lecteur",
Collectif, Retz, 2001
"Situations-problèmes pour enseigner
l'histoire au cycle 3", Alain Dalongeville,
Hachette, 2001
"Grammaire, conjugaison, orthographe,
cycle 3", Jeanne DION et Marie SERPEREAU,
Bordas, 2002
"Situations-problèmes pour enseigner
la géographie au cycle 3", Alain
Dalongeville et Michel Huber, Hachette,
2002
"(Se) construire un vocabulaire en
langues", Secteur Langues du GFEN,
Chronique Sociale, 2002
"Enseigner l'histoire autrement",
Alain Dalongeville et Michel Huber, Chronique
Sociale, 2002
"Animer un atelier d'écriture",
Odette et Michel Neumayer, ESF, 2003
"Concepts-clés et situations-problèmes
en mathématiques", Odette Bassis,
Hachette, 2003
Liste établie en 1999, ne reprenant que les ouvrages parus à partir de 1970, d'auteurs individuels ou collectifs.
A la recherche de l’école de demain, Collectif direction
Robert Gloton, Colin, 1971
Agir ensemble à l’école Aujourd’hui... la pédagogie
du projet l’école, Collectif GFEN - groupe de Soissons, Casterman – E3, 1982
Au pays des enfants masqués, Robert Gloton, Casterman,
1979
Bouquet garni, panier d’orties, Une expérience d’écriture
en entreprise Collectif direction Michel Ducom / Michel Lalane : Hervé
Le Corre, CMCAS de Bordeaux, 1996
Ça conte, Collectif GFEN Secteur écriture et poésie
direction Pierre Colin / Michel Ducom, Cahier de poèmes, 1986
Comment les enfants entrent dans la culture écrite,
Jacques Bernardin, RETZ – pédagogie, 1997
Construire ses savoirs Construire sa citoyenneté
de l’école à la cité, Collectif GFEN
groupe Rhône Alpes, direction Marie
Alice Médioni, Chroniques sociales, 1996
De la musique avant toute chose, Isabelle Lamorthe,
Magnard – témoignages
pédagogiques, 1989
De nombreux ouvrages d’Henri Wallon souvent répertoriés
par ailleurs de 1942
à 1962
Des maîtres pour une autre école : former ou
transformer ?, Henris Bassis, Casterman E3,
Dialogue sur l’égalité Il est temps d’arrêter de
penser à la place de l’autre, Henri Bassis, Aleas Editeur Lyon, 1990
école
et savoir dans les banlieues... et ailleurs, Bernard Charlot / Elisabeth Bautier
/Jean-Yves Rochex, A. Colin, 1992
éducation
nouvelle et monde moderne, Gaston Mialaret, PUF, 1976
éducation
nouvelle : Quelle histoire !, Hugues Lethierry, Editions Subervie,
1986
"En sortant de l’école..." Un projet
réalisé par des enfants de la rue Vitruve, Collectif, Casterman–Orientations
E3, 1978
Enseigner l’histoire à l’école, Alain Dallongeville,
Hachette, 1995
Former des enfants lecteurs, Josette Jolibert, Hachette,
Former des enfants producteurs de poèmes, Josette
Jolibert, Hachette, 1993
Former des enfants producteurs de textes, Josette
Jolibert, Hachette, 1988
Il s’est passé quelque chose à Cassis Des témoins
parlent, Vincent Ambite, Casterman E3, 1982
Je cherche donc j’apprends, Henri Bassis, Messidor
editions sociales,
L’adolescent inadapté, Claude François-Unger, Paris
PUF– pédagogie d’aujourd’hui, 1974
L’apprentissage de la complexité, Gérard Clergue,
Editions Hermès, 1997
L’atelier d’écriture, Collectif GFEN- secteur écriture
et poésie, Cahier de poèmes, 1988
L’autorité à la dérive, Robert Gloton, Casterman-Orientations
E3, 1974
L’échec scolaire : doué ou non doué ?,
Collectif GFEN, Editions Sociales, 1974
L’école active expérimentale, Aurélien Fabre, PUF,
1972
L’établissement scolaire, unité éducative, GFEN collectif
direction Robert Gloton, Casterman E3
L’histoire, indiscipline nouvelle, GFEN collectif
direction Michel Huber, Syros, Collectif Sciences sociales, 1984
L’insoutenable ambiguïté de l’aide, Collectif GFEN
groupe Sud Ouest, GFEN Sud Ouest, 1991
L’orientation scolaire en question, GFEN collectif
secteur orientation, ESF, 1986
La lecture dans les centres sociaux, Collectif direction
Michel Ducom, GFEN, 1990
Le pouvoir d’écrire, Editions Cahier de Poèmes
Le pouvoir de la poésie, GFEN Collectif direction
Michel Cosem, Casterman, 1975
Le pouvoir de lire, GFEN collectif direction Josette
Jolibert / Robert Gloton, Casterman E3,
Le sens de l’expérience scolaire, Jean Yves Rochex,
PUF – L’éducateur, 1995
Le travail valeur humaine Une école pour nos enfants,
Robert Gloton, Casterman E3, 1981
Le vert du vocabulaire – anthologie de textes d’enfants
et d'adolescents, GFEN collectif sous la direction de Michel Cosem, Casterman,
1981
Les brouillons d’écolier, Claudine Fabre, Ceditel,
1990
Mathématiques :... quand les enfants prennent
le pouvoir, Odette Bassis, GFEN, 1991
Parler, écrire « pour de bon » à l’école,
GFEN collectif direction Claire Ambite / Michel Cosem, Josette Jolibert / Hélène
Mercusot, Casterman E3
Pédagogie scientifique et éducation, Aurélien Fabre,
Armand Colin cahiers de pédagogie moderne, collection Bourrelier
Pour une autre pédagogie de la lecture, GFEN collectif
sous la direction de Josette Jolibert / Hélène Romian, Casterman E3
Quelles pratiques pour une autre école ? Tous
Capables !, Collectif GFEN animé par Henri Bassis, Casterman E3, 1982
Réconcilier pédagogie et poésie, Collectif Secteur
Ecriture et Poésie direction Pierre Colin / Michel Ducom, Cahier de poèmes,
1985
Reconstruire ses savoirs, GFEN collectif sous la
direction de Henri Bassis, Messidor éditions
sociales, 1986
Réussir à l’école, GFEN collectif, éditions
Sociales,
Se construire dans le savoir A l’école, en formation
d’adultes, Odette Bassis, ESF – collection pédagogies, 1997
Situations-problèmes pour explorer l’histoire de
France, Alain Dallongeville et Michel Huber, Casteilla, 1989
Une voie communautaire (Les écoles de la Villeneuve
de Grenoble), Rolande et Raymond Millot, Casterman – E3, 1979
Des revues du GFEN
Dialogue
–
revue de recherche et de création nationale
N° 80
Tous Créateurs
N° 81 école
Travail Société : le défi du sens, 1995
N° 82 Savoirs du corps
N° 83-84 Savoir et citoyenneté en banlieue
N° 85 Singulières résistances, 1996
N° 86 Au cœur des pratiques, le travail
N° 87 Culture, singulier, pluriel, 1997
N° 88 Formation à la démocratie N° double
N° 89 Quoi de neuf du coté de l'écriture
(1), 1998
N° 90 Quoi de neuf du coté de l'écriture
(2)
N° 91 Je t'aide, moi non plus
N° 92 L'évaluation en question, 1999
N° 93 Histoire-Mémoire
N° 94 Mais où sont passés
les savoirs ?
N° 95 Penser l'action, l'engagement, le
projet
N° 96/97 Pratiques de savoir en banlieue
N° 98 De liens en réseaux
N° 99 Formation : normalisation ou émancipation
?
N° 100/101 100 et une idées d'éducation
nouvelle
N° 102 Vie coopérative, apprendre
ensemble pour un monde solidaire
N° 103 Collège, diversifier ou démocratiser
l'accès au savoir
N° 104/105 Culture et pratiques culturelles
N° 106 L'école, ferment social
N° 107 Oeuvrer pour la paix : les paradoxes
du conflit
N° 108 Des idées qui ont la vie dure
N° 109 Tous capables ! Quel travail !
N° 110 Savoir et création, une même
aventure humaine
Cahier
de poèmes –
revue du secteur écriture
et poésie du GFEN
Liste
des derniers numéros parus :
N°55 Lieux d'écrits
N° 56 Lire écrire
Créer : une stratégie globale
N° 57 Décalquer l'invisible
N° 58 Le partage des rêves
N° 59 La langue en vie (Norge)
N° 60 Le pouvoir de l'imaginaire
N° 61 l'Imaginoir (Centre permanent d'écriture)
N° 62 Figure toi la langue
N° 63 La création poétique dès la maternelle
(Toulouse)
N° 64 écriture
visages de la pensée
N° 65 Pouvoirs de la poésie
N° 66 L'Ecriture : lieux et non-lieu
N° 67 L'adossement, pour le regard
N° 68 Crée(r) du désordre
Des plaquettes éditées
par les groupes régionaux du GFEN
(non exhaustif) Un manifeste Le manifeste du GFEN :
l’éducation nouvelle comme émancipation
mentale à conquérir : une urgence de
civilisation, Le Monde,1993 Des textes de fond
parus dans de nombreux ouvrages collectifs,
des publications, des revues non dirigés
par le GFEN Des mémoires ou thèses
sur l’histoire du GFEN Mémoire de maîtrise d’histoire
contemporaine par Martine Le Roux-Yahiel,
sous la direction d’Antoine Prost :
L’histoire du GFEN de 1922 à 1962 – Université
Paris I / Panthéon Sorbonne – Centre de
recherches d’histoire des mouvements sociaux
et du syndicalisme, 1983 Thèse nouveau régime des
Sciences de l’éducation,
Hugues Lethierry, dirigée par MM. Berger
et Vigarello, Université Paris 8, 1986 Le GFEN à l'origine
d'un projet de réforme de l’enseignement Le plan Langevin –Wallon,(respectivement
président et futur président du GFEN) élaboré
en 1945 par une commission gouvernementale
au sein de laquelle figuraient sept membres
du GFEN sur vingt participants. Marqué par
les empreintes de la pédagogie dite nouvelle,
il ne sera jamais institutionnalisé mais
servira longtemps de référence au mouvement
revendicatif. La recherche en matière éducative,
et pas seulement à l'école. (famille, entreprises,
associations, santé, justice, syndicats,
comités d'entreprises, bibliothèques, lieux
de création…) De la maternelle à l'Université,
les classes et les établissements scolaires,
la formation des enseignants, initiale et
continue. La formation des adultes,
dans les divers dispositifs. Les publics en difficulté
ou en grande difficulté. La formation des autres personnels
dans l'éducation, des parents, des militants
ou professionnels d'autres associations
éducatives ou péri ou post scolaires. La formation en entreprise,
privées ou publiques, à la demande des entreprises
ou des comités d'entreprise, des syndicats. La Justice, la Rééducation,
les Maisons des Jeunes et de la Culture,
les Centres Sociaux, Maisons de quartiers,
Bibliothèques, Librairies, Festivals de
création… Tout domaine disciplinaire,
(mathématiques, sciences physique et chimie,
biologie, enseignement de la langue, de
la littérature, des langues, philosophie,
éducation civique, économie, histoire, activités
artistiques etc.), l'écriture adultes et
enfants, l'animation, la distorsion entre
les principes et les comportements, les
comportements éducatifs, la soumission à
l'autorité, les attentes, l'aide, l'accompagnement
scolaire, la création, formation à la vie
coopérative…
Très peu, quelques centres sociaux ou petites
associations amies
Grafitte
–
revue du secteur Arts plastiques Recherches
et Création du GFEN
Pratiques de la philosophie
– secteur Philo du GFEN : 8 numéros
parus
Dialangue – secteur
Langues du GFEN
Dialogue Orientation –
secteur Orientation du GFEN
Copillage
– secteur secondaire
Bulletins du GFEN Normandie :
- Lecture écriture
pour tous
- Dans la famille à l’école : éducation
à l’autorité
- Spécial échec
scolaire
- Violence symbolique à l’école
- Spécial écriture,
GFEN 28
- Spécial Orthographe, GFEN 28, 1985
- Spécial Grammaire
- Spécial Mathématiques
- Spécial Géométrie, 1993
- Technique(s), Enseignement, Culture, GFEN
Normandie Centre,1996
- Du sens de l’école, GFEN 28, 1997
Racontes de pratiques, GFEN Provence
- L... comme langues, 1983
- Le journal de Simbad : un projet
d’écriture longue, 1986
- Le récit mode d’emploi, 1986
- écrire
autour du Je : ateliers 87, 1987
- La place de pair est libre, 1988
- Rapport au savoir et stratégies globales,
1989
- Lire, écrire,
Créer : une stratégie globale, 1989
- écrire
pour aller lire, 1990
- Le projet, ça s’écrit, ça se vit, 1991
- Faire de l’écriture un bien partagé, GFEN
Provence,1993
- Lire, écrire, créer :de la formation
aux pratiques de terrain,
CGE/GFEN Provence, 1994
- Le travail ? parlons-en ! Vers
une analyse du travail enseignant,
GFEN Provence, 1995
- Lire, écrire, créer : tisser des
liens, GFEN Provence, 1997
GFEN Midi-Pyrénées
éducation
nouvelle Projets Identités Recherches, 1991
GFEN Ile de France
Racines de Violence(s) n°1, 2002
La classe coopérative
Non à la délégation des pouvoirs, 1985
GFEN Bretagne
- L’égalité quelle histoire,
- Lecture Projet
GFEN national
- 1492... rencontre des deux mondes ?...
1992
- Le jeu de l’île
- Journées nationales d’études de Courcelles,
1995
Mode
d'intervention
groupes de travail
stages
universités d’été
groupes d’analyse de la pratique
programmes d’activité
autres : sur demande d'associations
extérieures : Recherches, ateliers (en particulier
écriture ou arts plastiques), classes écriture,
démarches d'auto-socio-construction, conférences-débats,
cafés pédagogiques, tables rondes, colloques,
rencontres, journées d'études, interpellations
écrites publiques lors de manifestations
diverses, interventions créatives sur Festivals
ou manifestations.