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La 6ème Biennale

Contribution recherchée

Atelier : Quel sens les savoirs de la pratique donnent-ils à la formation ?

Titre :	Travailler avec des partenaires : une nouvelle forme de professionnalité enseignante
Auteurs :	COMTE Daniel

Texte :
La contribution qui suit s'appuie sur la préparation d'un module de formation au partenariat en IUFM, sur une conférence en IUFM en avril 2002 et sur les recherches que je mène en tant que doctorant pour une thèse sur le sujet. Trois hypothèses sont avancées. Sur un axe "école-société", la première affirme une irréversible ouverture de l'école. Sur un axe "enfant-activités éducatives", nous faisons le constat d'une profusion d'activités péri et extra-scolaires bénéficiant d'une manière inégalitaire aux populations potentiellement concernées. Le dernier axe "système et porosité" nous permet de postuler que nous sommes passés d'une école sanctuaire à un système de plus en plus perméable au contexte environnemental. Des questions fondamentales se font jour à la lecture de l'article : Comment accompagner, de l'intérieur comme de l'extérieur, ce lent et irréversible mouvement d'ouverture de l'école vers la société ? Les inégalités sociales déterminent-elles des inégalités d'accès à la culture et aux loisirs ? Si oui, comment lutter contre cette nouvelle forme d'exclusion ? Quelle formation est proposée aux enseignants qui doivent faire montre de nouvelles compétences, en lien avec une nouvelle facette de leur professionnalité ? Des concepts sont travaillés comme ceux de système et de sa perméabilité, de villes éducatrices et d'interministérialité, de partenariat et d'éthique. La méthodologie déclinée en plusieurs phases : Une phase de sensibilisation articule un temps d'exposé et un débat avec le public : en majorité des stagiaires IUFM en formation initiale. La formation qui suivra travaillera dans un premier temps sur la représentation qu'ont les stagiaires du partenaire extérieur (logiques, valeurs, objectifs), enchaînera sur une phase de clarification du concept de partenariat, travaillera, par les méthodes actives, les conditions de réalisation d'actions, avant une évaluation finale.

Texte :

La contribution qui suit s'appuie sur la préparation d'un module de formation au partenariat en IUFM, sur une conférence en IUFM en avril 2002 et sur les recherches que je mène en tant que doctorant pour une thèse sur le sujet.
Trois hypothèses sont avancées. Sur un axe "école-société", la première affirme une irréversible ouverture de l'école. Sur un axe "enfant-activités éducatives", nous faisons le constat d'une profusion d'activités péri et extra-scolaires bénéficiant d'une manière inégalitaire aux populations potentiellement concernées. Le dernier axe "système et porosité" nous permet de postuler que nous sommes passés d'une école sanctuaire à un système de plus en plus perméable au contexte environnemental.
Des questions fondamentales se font jour à la lecture de l'article :
Comment accompagner, de l'intérieur comme de l'extérieur, ce lent et irréversible mouvement d'ouverture de l'école vers la société ?
Les inégalités sociales déterminent-elles des inégalités d'accès à la culture et aux loisirs ? Si oui, comment lutter contre cette nouvelle forme d'exclusion ?
Quelle formation est proposée aux enseignants qui doivent faire montre de nouvelles compétences, en lien avec une nouvelle facette de leur professionnalité ?
Des concepts sont travaillés comme ceux de système et de sa perméabilité, de villes éducatrices et d'interministérialité, de partenariat et d'éthique.
La méthodologie déclinée en plusieurs phases :
Une phase de sensibilisation articule un temps d'exposé et un débat avec le public : en majorité des stagiaires IUFM en formation initiale.
La formation qui suivra travaillera dans un premier temps sur la représentation qu'ont les stagiaires du partenaire extérieur (logiques, valeurs, objectifs), enchaînera sur une phase de clarification du concept de partenariat, travaillera, par les méthodes actives, les conditions de réalisation d'actions, avant une évaluation finale.