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La 6ème Biennale

Contribution recherchée

Atelier : Citoyenneté, valeurs et violence. Ethique et médiation : sont-elles au coeur des problématiques d'éducation ?

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Titre :	Références conceptuelles et action éducative/formative dans le champ de l'interculturel
Auteurs :	ASGARALLY Issa

Texte :
Sur une toile de fond constituée, sur le plan international, d'une dangereuse bipolarisation qu'entraînent les événements du 11 septembre 2001 et leurs interminables séquelles et, sur le plan national, des émeutes de février 1999 à Maurice, où l'on a frôlé un affrontement inter-éthnique, notre communication s'efforce de revoir les concepts de multiculturalismes, de mondialisation des cultures et d'interculturel en vue de dégager les principes et les modalités d'une action éducative/formative efficace. Elle tient compte des postulas de quelques chercheurs à l'effet que "le but ultime de la production, comme le disait John Dewey, n'est pas la production de marchandises mais la production d'êtres humains libres, associés les uns aux autres sur un pied d'égalité" (Chomski, 2000), que "l'éducation est une entrée dans la culture" (Bruner, 1996), que "les germes de la guerre civile se développent aujourd'hui au sein même de l'école" (Meirieu et Guiraud, 1997), que "la première finalité de l'enseignement a été formulée par Montaigne : mieux vaut une tête bien faite qu'une tête bien pleine" (Morin, 1999) et que "des identités meurtrières, qui installent les hommes dans une attitude partiale, sectaire, dominatrice, intolérante, quelquefois suicidaire, fleurissent dans nos sociétés modernes" (Maalouf, 1998). Notre communication, écrite dans l'urgence, se penche sur des actions concrètes auprès des enseignants et des élèves dans le chapitre culturel. A Partir de l'histoire de la littérature, nous esquissons les contours d'une véritable éducation interculturelle qu'on pourrait également proposer dans d'autres domaines tels le théâtre, la science, la philosophie, la musique et les arts plastiques. Pour que l'avenir soit moins violent !

Texte :

Sur une toile de fond constituée, sur le plan international, d'une dangereuse bipolarisation qu'entraînent les événements du 11 septembre 2001 et leurs interminables séquelles et, sur le plan national, des émeutes de février 1999 à Maurice, où l'on a frôlé un affrontement inter-éthnique, notre communication s'efforce de revoir les concepts de multiculturalismes, de mondialisation des cultures et d'interculturel en vue de dégager les principes et les modalités d'une action éducative/formative efficace.
Elle tient compte des postulas de quelques chercheurs à l'effet que "le but ultime de la production, comme le disait John Dewey, n'est pas la production de marchandises mais la production d'êtres humains libres, associés les uns aux autres sur un pied d'égalité" (Chomski, 2000), que "l'éducation est une entrée dans la culture" (Bruner, 1996), que "les germes de la guerre civile se développent aujourd'hui au sein même de l'école" (Meirieu et Guiraud, 1997), que "la première finalité de l'enseignement a été formulée par Montaigne : mieux vaut une tête bien faite qu'une tête bien pleine" (Morin, 1999) et que "des identités meurtrières, qui installent les hommes dans une attitude partiale, sectaire, dominatrice, intolérante, quelquefois suicidaire, fleurissent dans nos sociétés modernes" (Maalouf, 1998).
Notre communication, écrite dans l'urgence, se penche sur des actions concrètes auprès des enseignants et des élèves dans le chapitre culturel. A Partir de l'histoire de la littérature, nous esquissons les contours d'une véritable éducation interculturelle qu'on pourrait également proposer dans d'autres domaines tels le théâtre, la science, la philosophie, la musique et les arts plastiques. Pour que l'avenir soit moins violent !