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Titre : Manuel général de l'instruction primaire

Sous-titre : Journal officiel puis Journal [politique] hebdomadaire des instituteurs [et des institutrices] puis Le Nouveau magazine pédagogique

Devient :

- Instituteur (L'). Manuel général de l'instruction primaire en (1840)

Date(s) :

1832 - 1967

Commentaire organe : La revue a été fondée à l’instigation de François Guizot et fait figure de journal officiel du ministère de l’Instruction publique.

Filiation(s) :

Commentaire filiation : La revue concurrence fortement le Journal de l'instruction élémentaire publié à partir de 1830 par Louis Hachette et qui arrête dès 1832 sa parution. Hachette rejoint rapidement les autres éditeurs du Manuel général bien que dans le Journal de l'instruction élémentaire il s’était élevé contre cette nouvelle publication. De 1840 à 1843 le Manuel général fusionne avec L'Instituteur.
À partir de 1945, parution d’une édition du second degré intitulée Manuel général. Édition du second degré avec laquelle le Manuel fusionne en 1964, pour former Manuel général. Journal des professeurs s’adressant désormais aux enseignants des premier et second degrés.
Le Manuel général publie également deux éditions : une pour l’Afrique du Nord (voir infra) et une pour l’Afrique noire intitulée Manuel général. Nouvelle édition pour l’Afrique (voir à chacun de ces titres).

Entre 1845 et 1848, il existe quelques éditions locales dont l'esprit annonce les Bulletins départementaux de l'instruction primaire créés à partir de 1865 ; outre le texte entier du Manuel général, elles proposent, pour prendre l'exemple de l'édition de la Meuse, « un supplément exclusivement réservé à tous les documents qui intéressent spécialement notre pays. Ainsi, nous ferons connaître à nos abonnés les actes de la Préfecture et de l'Académie qui peuvent les concerner ; nous les tiendrons au courant des travaux et des décisions des comités supérieurs, nous faciliterons la transmission des instructions et des avis que MM. les inspecteurs et sous-inspecteurs primaires croiront devoir leur adresser ».

On a récensé :
– une édition de l'Académie d'Amiens de 1845 à 1848 (cote BnF : R. 23826/29).
– une édition du Haut-Rhin en 1845 – 1846 (cote BnF : R. 23835/36).
– une édition de la Meuse en 1845 - 1846 (cote BnF : R. 23830/31).
– une édition de la Saône-et-Loire en 1847 (cote BnF : R. 23838).
– une édition de la Seine-Inférieure de 1846 à 1848 (cote BnF : R. 23832/34).

En 1927/1928 parution d’un guide pratique du nouvel instituteur sous le titre Agenda du Manuel général (cote BnF : Microfiche 8° R. 35799).

De septembre 1961 à juillet 1964, publication d’une édition spéciale Afrique du Nord (cote BnF : 8° Jo. 13985). À l’intérieur de chaque numéro du Manuel général quelques pages sont spécifiquement destinées aux enseignants du premier degré en Afrique du Nord. Chaque livraison contient « deux fiches d’initiation au langage, une fiche d’initiation au calcul, une fiche d’histoire et une fiche de géographie [… apportant] aux maîtres du bled des éléments directement utilisables et des leçons toutes préparées » (septembre 1961).

Responsable(s) : Directeurs ou rédacteurs en chef successifs : Matter, inspecteur général des études, Lorain, Théodore H. Barrau, Charles Defodon, A. Baeurlé, Waltener, Maurice Roger, à nouveau Waltener, René Vaubourdolle.
Rédigé en particulier par des directeurs d’écoles, inspecteurs primaires, professeurs.

Description matérielle : Parution successivement mensuelle, hebdomadaire, bimensuelle, mensuelle. 21/31 cm puis 16 cm, 140/2 500 p., 12 F puis 3/1 980 AF puis 19,80/24 NF ; tiré à 60 000 exemplaires à partir de 1930.

Le sous-titre varie.

Lieu(x) d'édition :

Editeur(s) :

Commentaire édition : Édité d'abord simultanément chez Firmin-Didot, J. Renouard, F.G. Levrault, remplacé par P. Dupont, L. Hachette ; à partir de 1850, uniquement chez L. Hachette. Siège social : 14 rue Pierre-Sarrazin puis 79 bd Saint-Germain.

Objectif : Le « Rapport au Roi » remis par Guizot en octobre 1832 notait :
« Le Gouvernement de Juillet a dû comprendre et il a compris la haute importance de l'instruction primaire : une puissante impulsion a été donnée, de grands résultats ont été obtenus. Pour les assurer et les étendre, une institution me parait indispensable ; je veux dire une publication périodique qui recueille et répande tout ce qui peut servir à l'amélioration des écoles et à l'instruction du peuple. Bien peu d'instituteurs primaires ont reçu, dans les écoles normales récemment fondées, le secret des bonnes méthodes et les principes d'une éducation nationale. Ceux qui sortent de ces écoles demandent à être dirigés dans leurs études et leurs efforts ; sans cela, leur zèle s'affaiblit, et bientôt une triste routine devient leur ressource dernière. Ainsi, l'ignorance se maintient et se propage par ceux-là même qui sont chargés de la combattre : et les sacrifices faits par l'État, les départements, les communes demeurent stériles [...].
Pour satisfaire au besoin d'instruction, des théories générales sont loin de suffire ; il faut des indications précises, des conseils répétés. Chaque jour voit éclore, en matière d'enseignement, un nouveau livre, une méthode nouvelle : le pays doit s'en féliciter ; mais ces inventions, ces essais ont besoin d'être appréciés avec science et indépendance. Des rapports précieux, pleins de faits et de vues, rédigés par les comités, les inspecteurs, les recteurs, les maires, les préfets demeurent inconnus du public. Le Gouvernement doit prendre soin de connaître et de répandre toutes les méthodes heureuses, de suivre tous les essais, de provoquer tous les perfectionnements ; dans nos mœurs, dans nos institutions, un seul moyen offre assez d'action, assez de puissance pour assurer cette influence salutaire : c'est la presse.
Je propose donc à Votre Majesté d'autoriser en principe la publication d'un recueil périodique à usage des écoles primaires de tous les degrés. Ce recueil devra contenir :
1° la publication de tous les documents relatifs à l'instruction populaire en France ;
2° la publication de tout ce qui intéresse l'instruction primaire dans les principaux pays du monde civilisé ;
3° l'analyse des ouvrages relatifs à l'instruction primaire ;
4° des conseils et des directions propres à assurer les progrès de cette instruction dans toutes les parties du royaume ».
La décision est ainsi prise de créer « un manuel périodique, publié sous l'autorité du Conseil royal, d'après les documents les plus sûrs et les expériences les plus positives, qui devra se trouver désormais entre les mains de chaque instituteur du royaume, du chef et des maîtres de chaque école normale, de tout citoyen qui suit ou qui surveille les progrès de notre éducation nationale » (n° 1, novembre 1832).

« Par sa circulaire du 17 octobre 1832, M. le ministre de l’Instruction publique a fait connaître aux chefs des académies que le gouvernement voulait l’extension illimitée des connaissances utiles, le rapide perfectionnement des écoles normales, et la fondation d’un grand nombre d’écoles intermédiaires entre les écoles primaires et les collèges.
Une institution spéciale a suivi de près cet acte, qui annonçait que l’instruction populaire allait recevoir en France une impulsion vive et décisive. Un manuel périodique, publié sous l’autorité du Conseil royal, d’après les documents les plus sûrs et les expériences les plus positives, doit se trouver désormais entre les mains de chaque instituteur du royaume, du chef et des maîtres de chaque école normale, de tout citoyen qui suit ou qui surveille les progrès de notre éducation nationale. Si jamais une œuvre populaire fut proposée, c’est celle d’une feuille destinée à éclairer dans tous ses détails et à perfectionner sous tous ses rapports l’éducation intellectuelle et morale du peuple.
En possession des renseignements les plus exacts et des plus puissants moyens d’influence, l’autorité veut apporter au public, par la voie de la presse, le riche tribut de ses lumières et de son action.
En chargeant l’un des fonctionnaires qui ont mission d’étudier les méthodes et de surveiller les écoles, d’une publication périodique sur l’éducation du peuple, sur les besoins et les ressources des diverses localités, sur les moyens de seconder partout les efforts des communes, des surveillants et des maîtres, le chef de l’instruction publique a voulu qu’une responsabilité spéciale fut engagée dans cette belle cause, et que désormais rien ne pût entraver un progrès placé sous la sauvegarde d’une constante publicité » (n° 1 et 2, novembre/décembre 1832).

« À nos lecteurs
Afin de remplir dans toute son étendue la mission dont la confiance du gouvernement l’a honoré, le Manuel général va s’imposer des modifications importantes ou, pour mieux dire, il va subir une transformation complète. Son prix d’abonnement, qui à partir du 1er janvier prochain, va être réduit à 3 francs par an, lui permettra de porter jusque dans les plus modestes écoles jusque dans les plus humbles hameaux, les utiles renseignements qu’il est chargé de répandre.
Refaire pour les instituteurs le cours complet des études primaires, et leur présenter sous une forme accessible à toutes les intelligences, les connaissances qu’ils doivent transmettre à leurs élèves, tel a été, depuis douze ans, l’objet principal du Manuel ; tel il devait être ; car au moment où il s’agissait, pour ainsi dire, de tout créer, les maîtres, aussi bien que les écoles, le premier devoir du journal officiel qui, au nom du gouvernement, s’adressait aux instituteurs effrayés de leur tâche et doutant de leurs forces, était de les élever à la hauteur de leur mission.
Ce but est aujourd’hui atteint. Formés par les écoles normales, ou à leur défaut, par les leçons suivies et méthodiques que le Manuel leur a offertes, les instituteurs, sur tous les points de la France, sont capables de faire eux-mêmes leur classe ; ils n’ont plus besoin qu’on la leur prépare. D’autres devoirs sont maintenant imposés au Manuel ; il va les remplir. Le Manuel général s’adressera spécialement aux anciens élèves des écoles normales et aux instituteurs qui, sous le rapport de leur propre instruction et de leur enseignement, ont le noble désir de rivaliser avec eux ; et afin d’être utile au plus grand nombre ou, s’il est possible à tous, il proportionne son prix avec leurs trop faibles traitements, en l’abaissant jusqu’aux dernières limites du bon marché.
Entretenir et fortifier les connaissances qu’ils ont déjà acquises, et les tenir au courant de tout ce qu’ils doivent apprendre pour mieux remplir leurs devoirs et faire honneur aux écoles où ils se sont formés ; mais surtout établir entre eux tous un lien commun ; les préserver de l’isolement, de la routine, des dangers auxquels les expose une concurrence souvent hostile ; éclairer et coordonner leurs efforts dans la science si difficile de l’enseignement, dans la science encore plus difficile de l’éducation ; tel est aujourd’hui notre objet principal […].
Le Manuel continuera à offrir à ses lecteurs tous les règlements et actes de l’administration qu’il leur importe de connaître, avec les éclaircissements et les explications nécessaires ; des conseils sur l’enseignement, sur l’éducation, et sur tout ce qui se rattache de près ou de loin à leurs travaux ; des notices sur les méthodes et sur les livres dans lesquels ils pourraient puiser quelque chose d’utile pour eux et pour leurs élèves.
Le Manuel embrassera en outre les diverses connaissances accessoires à la profession d’instituteur, à savoir la tenue des registres de l’état civil, la rédaction des actes sous signatures privées, le jardinage, l’agriculture, le chant, l’hygiène populaire, et mettra ses lecteurs à portée de populariser les découvertes utiles et les procédés nouveaux qui peuvent contribuer au bien être des classes laborieuses de la société.
En même temps il ne négligera rien pour fortifier en eux de plus en plus les habitudes morales et religieuses » (décembre 1844).

L'orientation du Manuel général sera réaffirmée et précisée dans diverses circonstances ; par exemple, en 1850, sous la direction de Th. H. Barrau :
« La politique, jusqu'ici étrangère à notre recueil, va désormais y tenir une large place. [Cependant] notre principal objet sera toujours l'éducation et l’enseignement considérés dans les principes généraux qui les dominent, dans la législation qui les régit, dans les méthodes et dans les résultats de tous genres qu'ils peuvent produire » (janvier 1850).

« Qui ne voit que le rôle de l’école et de ses maîtres sera primordial dans cette éducation à refaire, car c’est à l’école et par l’école que, dans une démocratie plus particulièrement, se forme le citoyen de demain ? Mais, pour que l’enseignement soit en mesure de s’acquitter de la lourde tâche qui l’attend, il importe qu’il soit mis à même de l’accomplir. Lui aussi attend des réformes, des transformations de forme et de fond. Nous nous proposons de les étudier ici en toute objectivité, conscients de leur importance dans le relèvement de notre pays, dont le corps enseignant considère comme un privilège d’être un des plus indispensables artisans » (Alain Gérard, novembre 1944).

« Votre travail de préparation est largement facilité, à tel point qu’il serait possible de prendre une de nos fiches et, la suivant pas à pas, de faire une bonne leçon.
Cette solution, toujours valable en cas… d’accident, n’est cependant pas à recommander d’une façon permanente : chacun doit faire son miel et adapter nos préparations à sa personnalité. C’est pourquoi nous vous fournissons une abondante documentation et mettons en évidence le plan de la leçon, vous évitant ainsi un long et souvent pénible travail de recherche » (septembre 1962).

« Le Manuel général prend sa retraite.
Les besoins des enseignants n’ont pas changé. Mais les livres scolaires modernes, accompagnés de leurs livres du maître, ont tant progressé que le fait de les utiliser suffit à simplifier l’efficacité de son enseignement […]. D’autre part, la matière pour la préparation de la classe ne peut plus être contenue dans une seule revue pédagogique, tant les classes se spécialisent chaque jour davantage. Il faudrait présenter autant de revues que de spécialités […]. Le magazine pédagogique, examinant l’aspect de ce problème, a préféré aller plus loin et créer une collection de livrets pédagogiques, de préparations de leçons que la librairie Hachette continuera d’enrichir, de renouveler et d’offrir au choix de chacun » (dernier numéro, juin 1967).

Contenu.

La revue se subdivise en deux ou trois parties. Elles regroupent, d'une part, les « informations officielles », concernant l'éducation, d'autre part, les « méthodes d'enseignement, mélanges et bibliographie ». La coupure peut encore se faire entre une « partie politique hebdomadaire » ou « partie générale » et une « partie spécifique pour les enseignants » ou « partie spéciale » ; les dernières années, la revue se partage en « partie scolaire » et « partie administrative ».

Les différentes parties contiennent :
– Lois, ordonnances, arrêtés, circulaires, décisions du ministre et du Conseil royal puis du Conseil supérieur de l'Instruction publique ; nominations, distinctions, récompenses.
– Comptes rendus de débats à la Chambre ; informations et commentaires sur le budget et les réformes de l'Instruction publique (à partir de 1865 et pendant quelques années, la revue se fait le porte-parole d'une campagne pour l'obligation de l'enseignement primaire) ; jurisprudence scolaire.
– Revue politique et sociale contemporaine (par intermittence au cours du XIXe siècle).
– Articles, études, notes, réflexions, contributions relatifs à l'éducation et à la pédagogie : didactique des disciplines.
– « Instructions pédagogiques » puis programmes et exercices à l'usage des instituteurs pour toutes les matières enseignées ; par la suite cette rubrique concerne aussi les cours complémentaires.
– Nouvelles du monde scolaire puis, également, post-scolaire, en France et à l'étranger.
– Problèmes corporatifs puis, également, syndicaux.
– Lectures parfois subdivisées en « lectures à l'usage des maîtres » et « lectures à l'usage des écoliers ».
– Information sur les examens et concours ; comptes rendus d'épreuves.
– Très importante bibliographie ; à partir de 1865, revue des bulletins départementaux de l’Instruction publique.
– Variétés : nouvelles des sciences et des lettres, procédés nouveaux d'agriculture et d'industrie ; hygiène et économie domestique ; faits divers.
– Correspondance ; annonces ; illustrations ; publicité.

De 1877 à 1897 apparaît un « Supplément » de 16 pages : une partie générale propose une chronique scientifique, littéraire et historique ; une partie scolaire donne « pour le maître et pour les élèves » des préparations dans les diverses matières enseignées ; ce supplément s'intéresse également aux examens et concours. En 1898, le supplément se scinde en deux parties : « La Semaine littéraire et scientifique » (1898 - 1899) reprend la partie générale, alors que « La Classe du soir » (1898 - 1900) propose des cours, des exercices et, parfois, des corrections dans de nombreuses disciplines : droit, agriculture, arpentage, français, histoire et géographie, calcul et système métrique, géométrie, hygiène et dessin.

Pendant la Première Guerre mondiale, le « Livre d'or de l'enseignement primaire » tient le compte des citations d'instituteurs.

Après la Seconde Guerre mondiale le contenu s’établit de la façon suivante :
– Causeries morales, enseignement ménager, nouvelles brèves concernant l’enseignement.
– Leçons pour toutes les matières enseignées dans le premier degré, et de 1944 à 1945, pour le second degré. (À partir de 1945, en raison des restrictions de papier, publication de deux éditions séparées pour le premier et le second degré).
– Cours pour l’enseignement agricole, exercices, programmes pour l’année scolaire par niveau.
– Leçons de sciences appliquées, de français, calcul, histoire-géographie. Les leçons de sciences appliquées s’adressent séparément aux écoles urbaines, aux écoles rurales, aux écoles des filles, puis deux éditions au choix : écoles urbaines, écoles rurales (voir infra).
– Préparation aux examens (brevet élémentaire, certificat d’études, bourses, diplôme d’études primaires, concours de recrutement des élèves pour l’école normale, entrée en sixième ou au cours complémentaire).
– Revue scientifique, revue agricole ; hygiène scolaire.
– Considérations sur l’enseignement et l’éducation.
– Page de l’institutrice : l’institutrice en tant que femme, mère, enseignante, …
– « Galerie d’honneur de l’enseignement » : portraits de personnalités du monde enseignant.
– Enquête mensuelle sur différents sujets : réforme de l’enseignement, éducation sexuelle, les vacances, …
– Éducation musicale, activités dirigées, dessin ; bibliographie ; courrier des lecteurs.
– Articles sur la coopération scolaire, les conférences pédagogiques, la psychologie de l’enfant, l’enfance déficiente.
– Culture générale.

À partir de 1964 et de sa fusion avec le Journal des professeurs de l’enseignement moderne, le contenu comprend des actualités politiques, sociales, scientifiques, culturelles et scolaires, la page des jeunes, des extraits de lectures pour jeunes, des sujets d’examens pour l’entrée en sixième, le BEPC, le certificat d’études primaires, le brevet élémentaire et l’entrée à l’école normale. Des suppléments contiennent des cours par niveau (primaire, collège) et par matière.

De 1949/50 à 1957/58 : deux éditions au choix sont proposées :
Édition rurale pour écoles de campagne qui comprend en outre une chronique agricole mensuelle, une leçon hebdomadaire des sciences appliquées pour la classe de fin d’études, la page mensuelle du secrétaire de mairie.
Édition urbaine pour écoles de ville qui comprend spécialement une chronique scientifique mensuelle, la leçon de travaux pratiques pour la classe de fin d’études, la leçon des choses.

Table des matières.

Mot cle(s) :

Cote : Cote BnF : R. 23801/25 (1832 - 1839 : Manuel général… ; 1840 - 1843 : L’Instituteur. Manuel … ; 1844 - 1849 : Manuel général…), R. 551 (1850 - 1857 : Manuel général…), R. 6523 (1858 - 1863 / 1916 - 1963 : Manuel général… 1964 - 1967 : Manuel général. Journal des professeurs) ; Microfilm M 556 (1863 - 1915 : Manuel général ; pas de parution de septembre 1870 à novembre 1871).