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Titre : Éducateur (L') prolétarien

Sous-titre : L'imprimerie à l’école, le cinéma, les techniques nouvelles d'éducation populaire puis Revue [pédagogique] de l’Institut coopératif de l’École moderne. Pédagogie Freinet

Devient :

- Éducateur (L') en (1941)

- Nouvel (Le) éducateur en (1988)

Date(s) :

1925 -     ⇒

Organe :

Filiation(s) :

Commentaire filiation : Sous le titre générique de L’Éducateur, la revue a connu des éditions multiples soit sous forme d’une scission de la revue elle-même en deux titres différents, soit sous forme de suppléments, intégrés dans la revue, ou qui deviennent indépendants pendant un certain temps. Ces changements reflètent les préoccupations des responsables des publications Freinet, préoccupations d’ordre pédagogique et financier. En effet en scindant la revue, en 1er ou en 2nd degré, ou en lançant des suppléments, L’Éducateur veut mieux cibler son public et attirer ainsi de nouveaux abonnements (voir dans le “Contenu” le détail de ces changements).
L’Éducateur est en outre associé à d’autres périodiques relevant de la pédagogie Freinet. Ils peuvent être classés en quatre catégories et pour plus de précisions, on peut se reporter à chacun d’entre eux :
1) Les documents de travail comme Brochures d’éducation nouvelle populaire, B.T. Bibliothèque de travail, B.T.R. Bibliothèque de travail et de recherches, B.T.J. Bibliothèque de travail junior, B.T.2 Bibliothèque de travail pour le second degré, B.T.S. ou S.B.T. Supplément à la B.T. Bibliothèque de travail.
2) Les magazines comme La Gerbe, L’Art enfantin, Boom’rang...
3) Les bulletins de liaison et les revues spécialisées dans un thème ou un niveau scolaire comme Techniques de vie, La Brèche, Le C.R.E.U., Le Lien...
4) Les parutions régionales des groupes départementaux de l’ICEM.

Comme nous l’avons indiqué, L’Éducateur a connu de nombreux changements ou a été doté de suppléments :
1) « L’Éducateur culturel » ou « L’Éducateur culturel international »
Il apparaît d’abord comme supplément de L’Éducateur en 1952 (2 numéros par an) et 1953 (8 numéros) puis, de 1954 à 1958, il constitue le troisième numéro du mois de L’Éducateur. Il est destiné aux éducateurs expérimentés habitués aux méthodes pédagogiques Freinet qui aimeraient approfondir leur réflexion. Il contient en particulier des études psychologiques et pédagogiques et suit étroitement l’actualité éducative nationale et internationale.
2) « L’Éducateur de travail » ou « L’Éducateur technologique »
Il paraît de 1954 à 1958 parallèlement à « L’Éducateur culturel » en tant que premier et deuxième numéro du mois de L’Éducateur. Il est appelé « L’Éducateur de travail » de 1954 à 1956 puis « L’Éducateur technologique » de 1956 à 1958.
« L’Éducateur de travail » ou « L’Éducateur technologique » est destiné, à l’inverse de « L’Éducateur culturel », aux éducateurs débutants déroutés par les techniques Freinet qui leur semblent compliquées et qui préféreraient un apprentissage progressif. Il contient des articles de pratique pédagogique, des témoignages d’instituteurs dans leur façon d’enseigner, des productions d’élèves ainsi qu’une présentation volumineuse des outils de travail de la pédagogie Freinet, avec, en particulier, des fiches de travail qui peuvent être découpées et utilisées en classe. Une partie commune avec « L’Éducateur culturel » comprend des informations concernant le mouvement Freinet.
3) « L’Éducateur technologique »
Ce titre réapparaît de nouveau à partir de 1963 en tant qu’édition technologique de L’Éducateur. De 1964 à 1967, il est bimensuel, couplé avec « L’Éducateur magazine » tandis que, de 1969 à 1970, « L’Éducateur technologique » est au choix de 1er ou de 2nd degré (en général les numéros paraissent en alternance). De 1967 à 1969, il est remplacé par « Les Dossiers pédagogiques » (voir infra) puis il reprend son titre d’ « Éducateur technologique de 1er ou de 2nd degré » pendant encore quelques numéros. À partir de 1970, il disparaît définitivement mais on retrouve en partie ses préoccupations et son contenu dans L’Éducateur qui porte en 1970 et 1971 le titre de L’Éducateur 1er et 2nd degré. Son objectif est « d’apporter aux maîtres les bases et les conseils pratiques pour qu’ils puissent adapter à leurs classes, au maximum, les techniques Freinet de l’École moderne ». Mais si pour le premier degré la méthode Freinet est bien admise et répandue, dans le second, elle se révèle plus difficile que prévu : « il y a certes, une adaptation à faire, dans le matériel et la technique [...]. Nous gênent, l’organisation actuelle des classes secondaires avec les professeurs spécialisés, le découpage excessif des horaires et le manque actuel de travail d’équipe » (C. Freinet, août 1964).
En 1970, la fin de la spécialisation en 1er et 2nd degré est annoncée pour marquer l’unicité de la pédagogie Freinet et la nécessité pour chacun de connaître ce qui se fait aux autres niveaux.
« L’Éducateur technologique » contient des outils de travail très techniques, des conseils aux enseignants, des témoignages d’expériences pédagogiques ; dans l’édition du second degré, on trouve en outre des articles de réflexion pédagogique comme la connaissance des adolescents ainsi que des articles militants sur le bien fondé des méthodes Freinet.
« L’Éducateur technologique » possède en 1964/1965 un supplément intitulé La Gerbe second degré qui reproduit essentiellement des textes d’élèves (cote BnF : 4° Jo. 18991, 3 numéros).
4) « L’Éducateur magazine »
Il constitue, de 1964 à 1967, le premier numéro du mois de L’Éducateur, paraissant parallèlement à « L’Éducateur technologique », puis, de 1967 à 1969, il a une parution indépendante. Son objectif est de diffuser auprès des enseignants les principes et les techniques pédagogiques de la méthode Freinet : « il nous faut aiguiller vers nos techniques les éducateurs et les parents qui sentent l’inconséquence des méthodes traditionnelles et souhaitent et recherchent une pédagogie répondant à leurs besoins [...].
Nous y étudierons ensemble les divers aspects de l’éducation et de la culture pour asseoir les bases profondes de notre pédagogie au service de la vie » (septembre 1964).
Si dans « L’Éducateur technologique » l’aspect pratique domine, « L’Éducateur magazine » privilégie la réflexion, aussi bien sur la pédagogie Freinet que sur la pédagogie en général. Il est aussi l’écho des discussions entre les tenants de la mémoire de C. Freinet qui ne veulent pas s’écarter de la ligne tracée et les autres qui souhaitent continuer à faire évoluer la pédagogie Freinet. On trouve également des nouvelles internationales concernant les écoles et les pédagogies intéressant spécifiquement le Tiers Monde ainsi que des informations sur la vie du mouvement.
5) « Les Dossiers pédagogiques » puis « Les Documents de L’Éducateur ».
« Les Dossiers pédagogiques » paraissent de 1963 à 1965 en fascicules séparés de L’Éducateur mais inclus dans son abonnement. Ils remplacent de 1967 à 1969 « L’Éducateur technologique » puis ils paraissent à nouveau en tant que supplément de L’Éducateur. En 1982, ils deviennent « Les Documents de L’Éducateur » puis en 1988 du Nouvel éducateur et sont servis en même temps que la revue principale.
Leur objectif, à travers les changements de titres, reste identique : « faire le point sur les recherches, les expériences menées dans nos classes, de manière pratique et théorique. On y trouvera donc des témoignages, des documents nés de la pratique quotidienne qui offriront aux professeurs et aux élèves des points de départ pour une nouvelle organisation du travail » (octobre 1969).
Ces publications sont en fait de numéros spéciaux portant sur un thème précis, à la fois réflexions et exposés, avec des options différentes suivant le niveau scolaire (quatre options possibles). Leur nombre est variable, en général 4 à 6 numéros puis 10 numéros par an (cote BnF : 4° Jo. 42784 : 1982-1988, et 8° Jo. 26133 : 1988 ->). « Les Dossiers pédagogiques » ont la même cote que L’Éducateur (voir infra).
Il existe également un supplément intitulé Commission des parents d’élèves et élèves de l’École moderne. Bulletin de liaison (cote BnF : 8° Jo. 15324, un seul numéro présent, mai 1965) destiné aux parents d’élèves et dont le but est de servir d’organe d’information et de diffusion de la pédagogie Freinet ainsi qu’une publication intitulée Vivre « pour communiquer au plus grand nombre […] tout ce que chacun de vous a d’important à dire, à crier, à dessiner, à chanter, à … » dont deux numéros ont paru en 1983 (cote BnF : Fol. Jo. 28041).
L’Éducateur et l’ensemble des titres présentés ci-dessus (à l’exception des « Documents de L’Éducateur » puis du Nouvel éducateur, voir supra) se trouvent à la même cote à la Bibliothèque nationale et ce jusqu’en 1988, quand la revue prend le titre Le Nouvel éducateur.

Responsable(s) : Fondateur et directeur de la publication : Célestin Freinet puis, de sa mort en 1966 et jusqu’en 1971, sa femme, Élise Freinet, puis responsables successifs de la publication : Maurice Beaugrand, Maurice Berteloot, René Laffitte, Guy Champagne, Bernard Donnadieu, Pierre Guérin.
Important comité de rédaction comprenant notamment Michel Barré, Michel Pellissier, Michel-Édouard Bertrand, Xavier Nicquevert, Pierre Le Bohec, L. Delbasty, Fernand Deléan, L. Lemary, Ueberschlag, Monique Ribis.
Des militants du mouvement Freinet participent aussi à la rédaction d’« une revue d’éducation écrite par ceux qui l’utilisent ».

Description matérielle : Parution mensuelle, très irrégulière pendant la guerre, puis principalement bimensuelle (tri-mensuelle de 1954 à 1959, 20 puis 15 numéros par an dont certains sont doubles ou triples), puis à partir de 1988, mensuelle. 24/34 cm, 300/900 p. puis 120/150 p. (hors suppléments), 15/1200 AF puis 12/259 NF.

Lieu(x) d'édition :

Editeur(s) :

Commentaire édition : Sièges sociaux successifs à Cannes : place Bergia, bd Vallombrosa, 24/26 av. des Arlucs.

Objectif : Objectif de la coopérative.

La CEL, Coopérative de l’enseignement laïc, société coopérative de consommation anonyme à capital variable a été fondée en 1927 par Célestin Freinet ; jusqu’en 1950, elle coordonne l’ensemble des activités du mouvement, vente de matériel, publications et réflexion pédagogique : « Notre mouvement pédagogique s’est cristallisé d’abord autour de notre Coopérative de l’enseignement laïc qui a été notre véritable lieu de rencontre, de travail et d’amitié. La CEL [...] a été pour ainsi dire une coopérative fermée, qui n’avait à aucun moment l’allure d’une entreprise commerciale [...]. Les choses ont commencé à changer le jour où nos techniques sont devenues plus ou moins officielles [...]. Nous avons décidé de devenir une véritable maison de commerce qui ne se distinguera [...] que par l’affectation des bénéfices qui iront en totalité à la masse des éducateurs, à l’école laïque et à ses élèves [...]. Notre véritable organisation pédagogique devient alors l’ICEM qui, lui ne vend rien, ne fabrique rien [...] au sein duquel nous nous rencontrons librement pour discuter des questions qui nous intéressent et pour préparer notamment les outils de travail dont nous avons besoin » (novembre 1950).

L’ICEM, Institut coopératif de l’École moderne, fondé en 1946, devient donc en 1950, l’organe pédagogique du mouvement Freinet.
« Il y a quarante ans, parce que nous restions seuls, isolés, nous avions besoin d’une école qui nous apprenne ce que nous devions savoir, mais en partant souvent de zéro. Maintenant l’école doit nécessairement partir de cet acquis considérable. D’où, une pédagogie différente, dont nous établissons les normes et les techniques, une pédagogie moderne qui tient compte avant tout d’un état de faits modernes qui variera encore [...]. C’est cette recherche constante du progrès éducatif à laquelle nous participons [...]. L’École doit être moderne » (novembre 1949).

Et de la revue.

« Nous avons expliqué en juin dernier pourquoi le développement de notre bulletin était une condition indispensable de la poursuite harmonieuse de notre travail [...]. Nous commençons dans ce numéro la rubrique de documentation internationale [...]. Nous pensons faire ainsi de notre revue une publication indispensable à qui veut se tenir honnêtement au courant de l'effort pédagogique international.
Nous pourrons faire mieux encore. Mais il est nécessaire que tous les adhérents, que tous les abonnés fassent un effort sérieux de documentation et de propagande [...].
Nous comptons sur vous tous pour faire vivre notre organe de travail, pour le rendre toujours plus intéressant et toujours plus utile, pour en faire un des premiers outils pédagogiques de ce pays » (C. Freinet, octobre 1932).

« Dans cette lutte, car c’en est une, L’Éducateur arrivera tous les quinze jours. Tour à tour reflet de notre travail à même les classes, des rencontres avec les aspects les plus divers mais les plus courants de nos activités pédagogiques quotidiennes, de la vie des groupes départementaux dans ce qu’elle a de plus dynamisant, des recherches et des résultats de travail des diverses commissions et des divers chantiers, des engagements de l’ICEM-Freinet, nous voulons qu’il apporte à chacun ce qui lui permettra de poursuivre sa montée et de se sentir solidaire, qu’il aide à la cohérence d’une action poursuivie aux quatre coins du pays et encore plus loin dans d’autres contrées, qu’il mette en évidence ce que la pédagogie Freinet conserve d’originalité et qu’il fasse place à toute innovation, à tout affinement de ses processus vivants.
Cet ambitieux rôle de reflet, franchement L’Éducateur parviendra-t-il à le jouer dans l’ampleur désirable ? assurément non ! Il faudrait un miroir démesuré pour refléter sans déformations notoires la vie de notre mouvement... Pourtant nous ferons l’impossible pour que la revue soit le synthétiseur-répercutant. Ce rôle de concentration des énergies et de mise en lumière de nos perspectives, ce rôle d’apport, de recours, de secours tant sur le plan technologique de la conduite de la classe, tant sur le plan “philosophique” [...] tant sur le plan humain et affectif [...], ce rôle nous voulons l’assigner à L’Éducateur qui sera certes l’image offerte à tous, à tous les autres [...], de ce qu’est notre mouvement, mais qui sera surtout l’un de nos premiers outils de relation et de communication. C’est notre journal scolaire à tous » (septembre 1974).

Contenu.

Les articles peuvent être classés en deux groupes répondant à un souci de réflexion théorique et à des préoccupations pratiques.
Partie théorique :
– Articles de pédagogie, réflexion théorique approfondie ou à caractère plus limité sur les principes pédagogiques du mouvement, sur les méthodes Freinet.
– Réflexions sur l’enseignement en général ou par discipline, sur le métier d’enseignant, les difficultés rencontrées dans la fonction enseignante, les évolutions du métier...
– Essais de psychopédagogie, contributions à la connaissance psychologique de l’enfant.
– Articles didactiques de sciences de l’éducation.
– Revue de la presse d’éducation, critiques ou résumés d’ouvrages de pédagogie, quelques interviews de spécialistes de l’éducation appartenant au mouvement ou externes.
– Biographies d’éducateurs français ou étrangers qui ont contribué à renouveler les sciences de l’éducation et ont en partie influencé la pédagogie Freinet.
– Quelques rétrospectives du mouvement, par exemple dans le numéro du 30 novembre 1984 qui retrace la vie de Freinet, les grands principes de sa pédagogie, l’historique de la CEL, de lICEM et de la FIMEM.
Partie pratique :
– Conseils de pédagogie pratique sous forme de textes accompagnés de plans de classe : « Comment aménager une salle de classe ou une école, de maternelle ou du primaire dans le cadre Freinet », des exemples de plans de travail c’est-à-dire d’organisation des activités et des horaires d’une classe Freinet, des conseils pour les débutants en pédagogie Freinet.
– Témoignages d’instituteurs ou d’autres enseignants qui présentent et proposent leur expérience dans une discipline et pour un niveau bien déterminé ; ces comptes rendus de leçons sont accompagnés des travaux faits à cette occasion par les élèves, textes, exercices, dessins, le tout dans le but de montrer combien les méthodes Freinet permettent un enseignement efficace et dynamique qui rend les enfants autonomes et épanouis.
– Descriptions détaillées des « outils », c’est-à-dire des techniques employées comme l’expression libre, la correspondance interscolaire, le journal mais aussi la méthode naturelle d’orthographe, l’expression artistique...
– Exemples de questionnaires, de fiches de travail.

Dans cette approche pratique, beaucoup de disciplines sont concernées : les matières de base, français (orthographe, lecture et rédaction de textes), mathématiques, sciences, histoire-géographie, langues vivantes au second cycle, l’instruction civique pratique (formation à l’autonomie coopérative), beaucoup d’activités artistiques (dessin, chant, danse et expression corporelle) et des travaux manuels montrant comment la pédagogie Freinet stimule la créativité spontanée des enfants. Les enseignements techniques ne sont pas représentés en soi mais les méthodes Freinet cherchent à s’y appliquer.
– Informations sur l’enseignement en France ou à l’étranger conçues expressément dans l’optique Freinet : comment la pédagogie Freinet est adoptée, comment elle progresse, comment les réformes de l’éducation nationale en tiennent compte ; comparaison des rendements des méthodes Freinet avec des méthodes classiques ou d’autres pratiques nouvelles ; reportages sur les expériences Freinet à l’étranger.
– Informations sur la vie du mouvement Freinet, le travail des commissions d’animations et des chantiers, c’est-à-dire des groupes de travail spécialisés, sur les stages d’initiation ou de perfectionnement aux méthodes Freinet et aux nouvelles techniques comme, selon l’époque, le disque, le magnétophone ou l’ordinateur, le tout sous l’autorité des C.EMEA, centres d’entraînement aux méthodes d’éducation active ; comptes rendus du congrès annuel.
– Situation financière de la CEL, de l’ICEM, ainsi que des périodiques et autres publications Freinet.
– Brèves informations corporatives, quelques textes officiels dans la mesure où leur connaissance est utile à la pratique Freinet, quelques allusions aux relations épisodiques du mouvement et des syndicats d’enseignants.
– Publicités, très nombreuses, pour les publications Freinet, livres, périodiques, expositions... ou des publications de pédagogie moderne qui lui sont proches.
– Correspondance, petites annonces scolaires et parascolaires (demande de correspondance interclasse, de fiches manquantes, d’offres de matériel pédagogique...), des tribunes libres.
– Importante iconographie.

Mot cle(s) :

Cote : Cote BnF : Microfilm D 1587 (très inc. ; 1932 – 1940 : L’Éducateur prolétarien), Jo. 76920 (très inc. ; 1941 – 1988 L’Éducateur), Fol. Jo. 28967 (1988 > : Le Nouvel éducateur).