Objectif : « Cette revue s’adresse aux infirmières (hospitalières, sanitaires, visiteuses, membres de Sociétés de Croix-Rouge, etc.) et à tous ceux qui s’intéressent à leur formation professionnelle.
Les infirmières y trouveront la mise au point des questions de pratique dont la connaissance leur est indispensable
Les médecins, particulièrement ceux qui s’occupent de la formation de leurs auxiliaires, pourront lire dans chaque numéro des leçons faites par des professeurs des écoles les plus réputées […].
La présence, dans le Comité de rédaction, d’un médecin scolaire des plus autorisés, et d’un savant qui a consacré de longs travaux à l’étude du développement physique, assure aux institutrices des chroniques particulièrement attrayantes.
La place faite à l’hygiène sociale, à la prophylaxie des maladies transmissibles, rendra la lecture de notre périodique intéressante pour les personnes s’occupant d’œuvres sociales, et spécialement pour les surintendantes d’usines et pour les agents des services sanitaires publics » (n° 1, avril 1923).
« Après un silence bien involontaire, L’Infirmière française peut enfin reparaître. Comme par le passé, une partie technique mettra au courant ses lectrices des questions médicales pouvant les intéresser. Le bulletin professionnel continuera à servir de lien entre les membres de l’association » (janvier/mars 1946).
« Ce numéro est le dernier que vous recevrez dans sa présentation actuelle. Plus qu’une mutation, il s’agit d’une naissance. L’Infirmière française, revue d’enseignement technique et de développement professionnel, créée en 1923 par Léonie Chaptal, fait place, actualité oblige, à La Lettre de l’Infirmière française [...]. L’originalité de cette formule rédactionnelle nous permettra de traiter l’information médicale et professionnelle tout en laissant une large part au courrier des lecteurs, au service petites annonces, aux conseils pratiques » (novembre/ décembre 1985).
« Notre profession est en pleine mutation. L’Infirmière magazine en est le témoin. Non aux articles austères, trop techniques, sans illustration. Nous voulons de la couleur, un langage vivant, de l’actualité, du papier glacé. Nous voulons un journal dont nous soyons fières, qui donne une autre image de notre profession et mène des combats pour la défense de nos intérêts » (Annick Jouan, rédactrice en chef, infirmière D.E., février 1987).
Contenu.
– Très nombreux articles médicaux écrits le plus souvent par des médecins, ou extraits de conférences, faisant le point sur les recherches en cours.
– Transcription de cours d’hygiène sociale, de chirurgie, de médecine pratique, de pharmacie, de puériculture, de pratique de laboratoire, de pratique sanitaire.
– Articles sur la profession d’infirmière, sur les différents modes d’exercices de la profession.
– Informations corporatives : histoire de l’organisation de la profession d’infirmière en France, liste des écoles d’infirmières, lois relatives à la formation des infirmier(e)s et à l’obtention des diplômes, avis de concours et sujets d’examens, aspects et conditions de vie des infirmières hospitalières en France et dans d’autres pays.
– Articles sur la morale professionnelle, les travailleuses sociales, la protection de l’enfance.
– Échos du Conseil de perfectionnement des écoles d’infirmières (décrets, nominations, sujets d’examens, projets de lois, discours, rapports de congrès).
– Réflexion sur la formation d’infirmière, enquêtes sur ce métier dans différents milieux. Le rôle d’éducatrice de l’infirmière dans le service de pédiatrie.
– Vie de l’association : assemblées générales, congrès, liste des membres du conseil d’administration, nouvelles des sections.
– Bibliographie, courrier des lecteurs, demandes et offres d’emplois, petites annonces.
– Bibliographie; correspondance; conseils.
– Nécrologie, publicité pour des médicaments ou des matériels de soin.
Table des matières.
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