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Presse de l'éducation
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Titre : Union internationale des amies de la jeune fille (branche française)
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Devient :
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- Union nationale française des amies de la jeune fille en (1917)
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- Feuille trimestrielle. Organe de l'Union nationale française des amies de la jeune fille en (1941)
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Date(s) :
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1908 - 1923
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1941 - 1948
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Organe :
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Commentaire organe : L'Union internationale fut fondée en septembre 1877 à Genève. En janvier 1917, fondation de l’Union nationale française à la suite d’incidents survenus dans deux maisons de jeunes filles à Paris en novembre 1916 « Ils ont été provoqués par le fait que, sur la demande et par l’intermédiaire du Bureau central de Neuchâtel, nos agentes ont rendu quelques services à des jeunes filles austro-allemandes. Ceci a imposé au Comité national la douloureuse obligation de séparer la branche française de l’ensemble de l’Union ».
L’Union française compte 2 000 membres en 1923.
De nombreuses œuvres sont fondées par l’Union comme bureaux de placement, maisons hospitalières, restaurants, foyers, œuvre des arrivantes, protection des voyageuses, patronages pour apprenties et jeunes ouvrières, salles de lecture et de récréation.
L’Union est d’inspiration protestante.
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Responsable(s) : Présidente de l’Union internationale : Esther Richard à Neuchâtel, où se situe le siège de l’Union internationale, puis Andrée Kurz.
Présidente de l’Union française : Mme J. Davaine puis Mme Monod (à partir de 1941) ; secrétaires générales successives : Mlle Blanc (à Caluire), Mlle G. Monod, Mme B. Krug (à Lyon). En 1922, le remplacement de Mme Davaine, démissionnaire n’est pas assuré. Mme G. de Watterville fait office de présidente par intérim.
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Description matérielle : Parution trimestrielle. 22 cm, 16 p., 0,50/1 F puis 50 F de cotisation.
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Lieu(x) d'édition :
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Commentaire édition : Siège social : 42 Grand’rue (Caluire) puis 14 rue de Margnolles puis 15 quai Saint-Clair (Lyon).
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Objectif : Objectif de l’Union.
« L'Union des amies de la jeune fille a pour but de former un réseau de protection autour de toute jeune fille appelée à quitter la maison paternelle pour chercher ailleurs son gagne pain et, autant que possible, autour de toute jeune fille isolée ou mal entourée, quelles que puissent être sa nationalité, sa religion et ses occupations.
C’est en 1877, à Genève, à la suite d’une conférence où Mrs Joséphine Butlers avait parlé avec une grande chaleur de la Traite des femmes et des dangers qui menacent toute jeune fille obligée de s’expatrier, que 22 dames appartenant à sept pays différents se réunirent pour chercher ensemble un remède à ce mal si grand. Elles pensèrent que leur devoir était de préserver les jeunes filles des pièges qui leur étaient tendus particulièrement dans les gares ; sous la présidence de Mme Aimée Humbert et de Mlle Sarah Monod, elles fondèrent l’Œuvre des arrivantes qui prit quelques années plus tard le nom de l’Union internationale des amies de la jeune fille. En 1884, l’Union nationale française fonda la première Œuvre des gares à Lyon et à Paris » (octobre 1923).
Contenu.
– Nouvelles de l'Union et, en particulier, informations sur le développement des comités régionaux et leurs initiatives : création d'une œuvre du trousseau, de cours ménagers, de bibliothèques...
– Présentation de quelques actions concernant la protection des voyageuses, l'édition de brochures de propagande ; relation sur les dangers matériels et moraux qui menacent la jeune fille ; enquête relative aux motivations, à l'origine géographique et au devenir des jeunes filles qui quittent les zones rurales.
– Dénonciation de l'immoralité, de l'alcoolisme, des causes de la tuberculose.
– Présentation de mouvements proches : Œuvre du relèvement moral, Œuvre des gares, ainsi que des foyers, maisons hospitalières, bureau de placement.
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Mot cle(s) :
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Cote : Cote BnF : Jo. 81587 (inc. ; 1911 (n° 10) - 1916 : Union internationale… ; 1917 - 1923 : Union nationale… ; 1941 - 1948 : Feuille trimestrielle).
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