Responsable(s) : Responsable : F. de Saint-Maurice puis présidente du mouvement : Madeleine Charrier puis Suzanne Castagné. Gérant : Louis Laboureur ; rédactrices : Berthe Bernage, Marie-Ange Besson, Édith Jaussaud, Marie-Thérèse Demontrond, Jacqueline Mirande, Geneviève Ott. Aumônier général : le RP H. Ferrand puis le RP A. Carrié.
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Commentaire édition : Édité à Lyon pendant la guerre. Sièges sociaux successifs : 26 rue Cassette, 41 rue de Vaugirard, 41 rue Notre-Dame-des-Champs, 19 av. d’Orléans (Paris), 33 rue Auguste-Comte (Lyon) puis 19 av. d’Orléans (Paris).
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Objectif : « S’Unir est le seul journal qui tente d’approfondir spécialement les problèmes qui se posent aux jeunes filles des classes moyennes : problèmes personnels, familiaux, professionnels […], problèmes de culture et de loisirs également, qui ne se posent pas pour elles de la même façon que pour les jeunes filles d’autres milieux. Le mode de vie, l’ambiance familiale, l’éducation reçue, et bien d’autres facteurs encore, les marquant d’une manière particulière […]. D’autre part S’Unir essaie d’apporter une ouverture sur les problèmes d’actualité qu’il est indispensable, à notre époque, qu’une jeune fille connaisse […]. En un mot, S’Unir veut être le lien et le moyen d’échange entre les jeunes filles des classes moyennes afin qu’ensemble elles s’aident à mener une vie plus épanouie et plus féconde » (novembre 1948).
Contenu.
– Conseils adressés à une jeune fille de son temps, rappel de ses obligations envers Dieu et envers les hommes ; considérations sur la famille chrétienne, le mariage, la maternité. – Articles sur la classe moyenne ; panorama des métiers pour jeunes filles ; loisirs, cinéma, culture, voyages. – La vie en France sous l’Occupation. – Vie du mouvement ; carnet, mention des jeunes filles entrées dans les ordres. – Fêtes religieuses. – Économie domestique ; bibliographie, jeux d’esprit ; iconographie.
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