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Titre : Femme (La) nouvelle

Sous-titre : Organe de l’enseignement des jeunes filles – des associations d’anciennes élèves – des amis de l’université laïque, des associations formées en vue de l’assistance et de la mutualité

Devient :

- Femme (La) nouvelle et la Jeune française en (1906)

Date(s) :

1904 - 1906

Filiation(s) :

Commentaire filiation : En janvier 1906 absorbe La Jeune française (voir aussi à ce titre).

Responsable(s) : Directrice : Mme L. Bérard, professeur au lycée de jeunes filles de Montpellier ; rédactrice en chef : Mme Roy, professeur au lycée de jeunes filles de Nancy puis d’Amiens. Rédigé par des enseignantes de lettres.

Description matérielle : Parution bimensuelle. 25 cm, 1100 p., 12 F.

Lieu(x) d'édition :

Editeur(s) :

Commentaire édition : Édité à Paris par Nathan puis par la Bibliothèque coopérative et à Montpellier. Sièges sociaux successifs : 18 rue de Condé, 111 rue Michel-Bizot, 26 rue de l’Échiquier (Paris), 5 rue Anterrieu puis 27 rue Chaptal (Montpellier).
Nota : La Bibliothèque coopérative, laïque et républicaine est une société anonyme de librairie et d’édition. Son président est A. André, ancien inspecteur d’enseignement primaire.

Objectif : « Nous offrons La Femme nouvelle aux jeunes filles qui pensent. Ce n’est pas une revue mondaine ; elle ne pourra pas être lue dans les quelques minutes d’entracte qui séparent la partie de tennis de la soirée dansante, car elle traitera sérieusement les choses sérieuses. Notre but, c’est d’apporter aux jeunes filles ‘des clartés de tout’, non pas ces vagues lueurs qui effleurent seulement les objets et déforment leurs contours, mais cette réchauffante lumière qui les éclaire et les vivifie. Nous parlerons avec franchise, conviction et simplicité, afin de combattre, autant par l’exemple que par la raison, ces deux travers de la jeunesse féminine : la frivolité et le pédantisme.
Il est naturel à 18 ans, d’aimer les jeux, les chiffons, tout ce qui fleurit les joues et embellit le corps : osez donc être jeunes. Mais pour que la bonté visible soit un reflet de la beauté intérieure, fleurissez aussi votre âme : que la bonté intelligente y grandisse à côté de l’oubli de soi.
C’est par le développement harmonieux du corps, du cœur et de l’esprit, que l’on devienne une véritable “Femme nouvelle” » (Mme L. Bérard, n° 1, avril 1904).

Contenu.

– Chronique de la vie littéraire, textes de littérature, poésies ; biographies de femmes remarquables.
– Articles de sociologie, commentaires sur l’actualité.
– Conseils ménagers.
– Bibliographie, revue des revues, correspondance.
– Iconographie.

« La Femme universitaire. Supplément bi-mensuel de la femme nouvelle » inclus dans la revue, contient des informations sur les concours d’enseignement des jeunes filles, les listes d’admission aux examens et concours universitaires, les carrières féminines, une chronique spéciale universitaire pour jeunes filles, l’enseignement de la langue française.

Mot cle(s) :

Cote : Cote BnF : 8° Z. 6309 (1904 - 1905 : La Femme nouvelle), Microfiche 8° Z 6309 (1906 : La Femme nouvelle et la Jeune française).