Description matérielle : Parution bimestrielle puis trimestrielle. 22 cm, 80/200 p., 1,20 F puis 1,50 F.
À partir d’octobre 1899, il existe deux éditions, jeunes filles, jeunes gens.
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Objectif : « Le Chercheur sera véritablement un trésor pour les maisons d’éducation, pour le clergé, pour les amateurs de musique et spécialement pour toutes les œuvres consacrées à l’enfance et à la jeunesse.
Nous devons dire tout d’abord qu’en publiant ce nouveau journal, nous cédons aux instances d’un grand nombre d’abonnés aux Annales de la Première communion, que nous avons fondées sous le patronage de Monseigneur de Ségur […]. On nous a fait comprendre que, prenant depuis près de dix ans une part plus ou moins directe aux principales œuvres de la capitale, nous pourrions rendre de véritables services en faisant paraître la modeste revue dont la première livraison vient d’être envoyée comme spécimen.
En fixant à 1,20 F le prix de l’abonnement pour un an et en offrant de plus des primes sérieuses, nous avons voulu répandre Le Chercheur jusque dans les plus pauvres campagnes.
On peut du reste se rendre facilement compte des avantages de notre journal par le sommaire de la première livraison ; le voici :
1) Fête de la supérieure ou de la directrice d’une maison d’éducation
2) Fête du supérieur ou du directeur d’un séminaire ou de l’école
3) Fête d’une mère
4) Fête d’un père
5) Réception d’un prélat
6) Distribution de récompenses
7) Listes des primes offertes aux abonnés
8) Demandes du Chercheur
9) Causerie sur l’hygiène pratique
10) Catalogue de romances, chansonnettes, pièces de théâtre.
Puisse cette humble entreprise ne pas se trouver indigne d’attirer les regards et les bénédictions du divin Enfant de la crèche » (abbé Chanteau, n° 1, janvier 1870).
« Le premier service que nous désirons rendre dans Le Chercheur, c’est de signaler les moyens les plus simples, les plus faciles, d’organiser les diverses fêtes qui servent si puissamment à entretenir la vie et le mouvement si désirables, nous allions dire si nécessaires, dans les maisons d’éducation et dans les œuvres vouées à la jeunesse. Il arrive en effet très souvent que tout manque pour cette préparation : le temps d’abord, puis les divers éléments, tels que les dialogues, les compliments, les morceaux de chant, de poésie, etc. etc.
Ne serait-ce donc pas une grande économie de temps et une notable diminution de travail, si l’on avait pour chaque fête un programme détaillé qui serait fait d’avance et que l’on aurait qu’à faire exécuter » (n° 1, janvier 1870).
Contenu.
– Chaque numéro comprend plusieurs documents dont les thèmes principaux sont les suivants : histoire, nature, vie quotidienne, situations de fête ou de cérémonie.
– Chansons, hymnes, mélodies, opérettes, pots-pourris.
– Contes, fables, poésies.
– Comédies, drames, compliments, pantomimes, proverbes joués, saynètes.
– Extrait de calendrier indiquant les fêtes à souhaiter.
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