Objectif : « On ne veut plus de mères, pour n’avoir plus de chrétiennes. Ils ont rêvé la femme émancipée, usurpant les fonctions civiles au détriment des siennes, et jetant une vie sans dignité et sans respect dans la mêlée homicide des luttes humaines. Ils ont créé, à la place de la mère et de l’épouse, cette souffrance et cette plaie sociale qui s’appelle l’ouvrière. Oui, des tâches extérieures, habilement proposées, ont poussé la femme hors de la maison pour en faire une ouvrière : modiste, dactylographe, femme de journée ou professeur : c’est toujours une ouvrière. ‘L’ouvrière, s’écriait déjà Michelet, mot impie, sordide, qu’aucune langue n’eut jamais, qu’aucun temps n’aurait compris avant cet âge de fer, et qui balancerait à lui seul tous nos prétendus progrès’ [... ]. Ne vous suffit-il pas d’être l’épouse fidèle au séjour calme de sa demeure qui règne sur l’homme par ces mille petits riens du sacrifice volontaire, dont nulle femme n’ignore le tout puissant prestige ? » (n° 1, janvier 1914).
Contenu.
– Articles édifiants ; apologie de la famille. – Présentation des Évangiles. – Pages d’histoire du diocèse. – Chronique de l’Union.
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