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Presse de l'éducation
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Titre : Journal des jeunes filles
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Sous-titre : Adopté par les principales maisons d'éducation de Paris
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Devient :
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- Moniteur (Le) des demoiselles en (1851)
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Date(s) :
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1846 - 1854
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Filiation(s) :
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Commentaire filiation : En novembre 1854, elle fusionne avec Le Guide-Sajou (sans contenu éducatif) et le Journal des dames et des demoiselles, édité en Belgique.
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Responsable(s) : Directrice : comtesse de Bassanville ; principaux collaborateurs : Edmond Audouit, Adolphe Delahaye, Michel Delaporte, Émile Deschamps, F. Fertiault, Ortaire Fournier, Galoppe d'Onquaire, H. Hostein, Alphonse Karr, Paul Lagarde (pseud. Louis Judicis), Th. Midy, Élisa de Mirbel, Michel Moring, Eugène Nus, Édouard Plouvier, Marco de Saint-Hilaire, Élisa Aclocque, Noémie Collet, Ernest Dubreuil, Grégoire Jeanne, Amable Tastu, Pauline Viel.
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Description matérielle : Parution mensuelle. 24/30 cm, 200/380 p., 6/10 F.
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Lieu(x) d'édition :
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Editeur(s) :
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Commentaire édition : Siège social : 38 passage des Panoramas puis 92 rue de Richelieu.
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Objectif : « Il y a quelques années à peine, quand la jeune fille, après avoir couru les champs, poursuivi les papillons sur toutes les fleurs, puis tous les jeux de son âge, revenait fatiguée près de sa mère - car le plaisir fatigue comme l'étude et qu'elle demandait à la lecture une distraction profitable, bien souvent sa main se promenait, sans pouvoir se fixer, sur les rayons de la petite bibliothèque [...].
Aujourd'hui, quelle différence ! L'enfance et la jeunesse ont leurs historiographes, leurs auteurs, leurs journalistes. Oui, les jeunes filles elles-mêmes ont leur journal, [...] un recueil aussi intéressant qu'honnête, aussi attrayant qu'instructif, un livre, enfin, qui a sa place sur la table de travail comme sur le banc de gazon du jardin; ce livre est le nôtre. Nous le disons avec confiance, il n'est pas une mère qui, après l'avoir parcouru, ne nous rende cette justice que nous n'avons pas un moment perdu de vue le double but que doit se proposer quiconque écrit pour la jeunesse : amuser et instruire - amuser par l'agrément, par l'enjouement de la forme ; instruire par l'utilité, surtout par la moralité du fond » (n° 1, janvier 1846).
« Notre journal doit changer avec l’année qui va s’ouvrir, non de direction, tranquillisez-vous mesdemoiselles, vous conserverez toujours la directrice que vous aimez et qui a su mériter et gagner votre confiance, mais ils changera de propriétaire éditeur ; les nombreuses occupations de M. Desesserts, l’extension qu’il donne à son commerce de librairie, ne lui permettant plus de s’occuper spécialement de cette publication, qui pendant le cours de cinq années, a obtenu le plus légitime succès, il l’a cédée à M. Goubaud » (décembre 1850).
Contenu.
– Causeries morales destinées aux jeunes filles.
– Nouvelles et romans ; biographies de personnages célèbres.
– Notions d'histoire, de littérature, de botanique, d'histoire naturelle.
– Économie domestique, savoir-vivre, couture et broderies.
– Pensées et maximes, iconographie.
– Album des travaux d'art et d'agrément comprenant des gravures de mode, des planches de couture et de broderie, des pages de musique.
Le contenu didactique de cette revue s'estompe après 1851.
Table des matières.
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Mot cle(s) :
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Cote : Cote BnF : R. 23733/37 (1846 - 1850 : Journal des jeunes filles), R. 8027/30 (1851 - 1854 : Le Moniteur des demoiselles).
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