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Presse de l'éducation
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Titre : Vie (La) au patronage
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Sous-titre : Organe catholique des œuvres de jeunesse puis Revue mensuelle des Œuvres catholiques de jeunes filles puis Revue mensuelle des religieuses éducatrices paroissiales puis Revue de la religieuse dans la pastorale d’aujourd’hui
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Devient :
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- Vie (La) au patronage - Éducatrices en (1940)
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- Éducatrices paroissiales en (1948)
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Date(s) :
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1909 - 1914
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1919 - 1969
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Organe :
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Commentaire organe : Organe (à partir de 1936) de la Fédération des patronages catholiques de jeunes filles en France (FPF) qui devient en 1949, Union des religieuses éducatrices paroissiales (UREP). Elle se rattache à l’Union des œuvres catholiques de France (UOCF).
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Filiation(s) :
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Commentaire filiation : À partir de 1912, la revue connaît deux éditions différentes. À l'édition initiale destinée aux garçons vient s'ajouter, en 1912, une édition pour jeunes filles. En 1928, l'édition pour garçons, devient autonome, en prenant pour titre Le Patronage.
Pendant la guerre, elle paraît en zone libre sous le titre Éducatrices. Après l’occupation de la zone sud, elle paraît clandestinement sous le titre Fiches pédagogiques – Éducatrices. À la Libération, elle fusionne avec la revue Éducateurs (nouveau titre pris par Le Patronage) pour former jusqu’en octobre 1948 une revue commune Éducateurs – Éducatrices (voir Le Patronage). Une partie de son contenu est reprise par U.R.E.P. Informations services (voir aussi à ces titres). Elle est remplacée par les Dossiers de l’Union, revue qui n’a pas de caractère pédagogique.
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Responsable(s) : Directeur-fondateur : Émile Girardot ; par la suite, le rédacteur en chef sera l'abbé René-J. Koenig ; principaux collaborateurs : abbé Jean Darcier, Abel Courtier, Simon Gylande, abbé Lemonnier, Georges d'Angély, Edward Montier, abbé Auguste Chantepie, Marguerite-Marie Defrance, abbé René Bethléem, Marie Cartier-Bresson, abbé Schaeffer, Yv. Le Mihier, Thérèse Brun, chanoine Louis Rastouil.
À partir de de la Seconde Guerre modiale directeurs successifs de publication : M. Varaigne, abbé Gaston Courtois, abbé Jean Pihan ; rédacteur en chef : Robert du Breil.
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Description matérielle : Parution mensuelle, bimestrielle puis à nouveau mensuelle. 28/20 cm, 880/440 p. par édition, puis 290/640 p., 12/48 F par édition puis 40 AF/18,50 NF.
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Lieu(x) d'édition :
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Editeur(s) :
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Commentaire édition : Édité d'abord à Montmédy chez E. Girardot, la revue a connue, à la suite de la Première Guerre modiale, de nombreux lieux d'édition dans l'Est de la France avant de se fixer à Antony puis à Paris où elle sera administrée par l'Union des Associations ouvrières catholiques (à partir de 1929) puis par l’UREP. Siège social à Paris : 31 rue de Fleurus.
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Objectif : Objectif de la fédération.
Depuis sa création, son but est « d’aider le clergé, les religieuses, les éducateurs et éducatrices, en tout ce qui concerne leur mission apostolique et éducative par tous les moyens nécessaires » (mai/juin1949).
En octobre 1947, les cardinaux et archevêques de France, « préoccupés de la formation des religieuses chargées d’œuvres éducatives paroissiales d’enfance et de jeunesse, donnaient leur approbation au directeur général de l’Union des Œuvres catholiques de France, M. l’abbé Courtois, pour travailler à développer les activités dans le cadre d’un centre de formation. C’est ainsi qu’a été constituée une Union des religieuses éducatrices paroissiales destinée à animer le Centre national d’information » (mai/juin 1949).
Et de la revue.
« Notre publication sera entièrement consacrée aux œuvres catholiques de la jeunesse. Notre but est de grouper chaque mois [...] tout ce qui est susceptible d'intéresser ces œuvres : patronages, cercles d'études, sociétés de tir, de gymnastique, de sport, sociétés de secours mutuels, sociétés chorales, musicales, syndicats agricoles, etc.
En un mot, cette publication sera le véritable bréviaire de l'apostolat moderne, l'organe indispensable des patronages » (n° 1, mai 1909).
« Gardons [...] la conviction que les âmes d’enfants et de jeunes filles ont encore besoin que des éducatrices religieuses, informées et averties, se penchent sur elles. C’est pour les aider dans leur tâche aussi délicate que splendide que Éducatrices paroissiales se présente, succédant à La Vie au patronage. Ses rubriques, ses chroniques refléteront notre époque, mais son âme n’a pas changé. Vous la retrouverez à travers ces pages à vous réservées, religieuses, qui vous dévouez aux peines dans un cadre paroissial » (octobre 1948).
Contenu.
Au départ, la revue précise ainsi son contenu :
« Chaque numéro contiendra […] :
Un article de doctrine sur une question religieuse ou sociale, des aperçus sur la formation chrétienne des jeunes gens.
Une chronique sur un sujet à l'ordre du jour.
Des thèmes et, quelquefois, des textes inédits de conférences, avec des renseignements sur les appareils à projections, les cinématographes et la photographie.
Un article de vulgarisation sur la mutualité ou les syndicats.
Des chansons (paroles et musique), des monologues, des chœurs, des pièces à dire.
Une pièce de théâtre en entier.
Des descriptions de mouvements pour sociétés de gymnastique.
Une chronique des sports.
Des plans de fêtes.
Des règles de jeux.
Des conseils de médecine et d'hygiène.
Une chronique de jurisprudence.
Une petite correspondance » (n° 1, mai 1909).
À partir de la Seconde Guerre mondiale :
– Articles relatifs aux différents aspects de la mission d’éducatrice : réfléchir sur l’évolution psychologique de la fillette, de l’adolescente et de la jeune fille afin de mieux l’éduquer ; inculquer des principes fondamentaux : ordre, obéissance, sens communautaire, politesse - et des vraies valeurs : charité, bonheur ; donner un enseignement religieux ; former l’intelligence et le goût artistique sans oublier l’éducation corporelle et l’éducation ménagère.
– Rubrique religieuse : lectures spirituelles, méditations sur des textes saints, réflexions sur les sacrements ou sur des thèmes particuliers tels que l’Esprit-Saint, la foi, l’Assomption.
– Conseils pratiques : idées de jeux, réalisation d’un journal mural, thèmes pour des soirées ou des retraites d’enfants, pièces de théâtre (sous forme d’encarts détachables), aides à apporter aux prisonniers et à leurs familles.
– Prises de position en faveur de la réforme de l’enseignement préparée sous le gouvernement de Vichy : l’Union soutient un système où l’instruction et l’éducation religieuse doivent coexister.
– Vie de l’Union : comptes rendus du congrès bisannuel tenu alternativement avec le congrès de l’Union des Œuvres catholiques de France, relations avec d’autres associations (Union des religieuses hospitalières, Union des religieuses enseignantes, Union des frères enseignants) et des mouvements catholiques (MRJC ou JOCF).
– Courrier des lecteurs ; sélection de livres et de films ; publicité pour les ouvrages publiés par l’Union.
Table des matières.
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Mot cle(s) :
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Cote : Cote BnF : Microfilm 4° R. 2333 (1909 - 1928, édition pour garçons), Microfilm 4° R. 2333 bis (1912 - 1935, mq 1912 : La Vie au patronage), Microfilm 8° R. 45988 (1936 - 1940 : La Vie au patronage), 8° Jo. 6348 (septembre 1940 - 1943 : La Vie au patronage - Éducatrices ; 1948 - 1969 : Éducatrices...).
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