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Lundi 16 janvier
Le corps enseignant français, produit d'une histoire
Philippe Savoie, directeur adjoint du SHE
Jean-Pierre Obin, IGEN groupe établissements et vie scolaire
Lundi 6 février
La notion de socle commun
Anne-Marie Chartier, maître de conférences à l'INRP
Jacques Moisan, IGEN, doyen du groupe mathématiques
Lundi 13 mars
La politique du ministère de René Monory
(lors du séminaire 2006-2007, la politique du ministère de Jean-Pierre Chevènement sera abordée)
Pierre Mignaval et Françoise Lepagnot, enseignants associés à l’INRP
Michel Roger, IGEN
Lundi 15 mai
Repenser la notion de sciences expérimentales ?
Gérard Vidal, maître de conférences à l'INRP (Erté ACCES, ENS Lyon / ENS Paris / INRP)
Claudine Larcher, professeur à l'INRP (UMR STEF, ENS Cachan / INRP), membre de la Main à la pâte.
Gilbert Piétryk, IGEN doyen du groupe sciences physiques et chimiques fondamentales et
appliquées
Lundi 12 juin
L'éducation à l'environnement pour un développement
durable
Benoit Falaize, chargé de recherche à l'INRP (Enseignements
sujets controversés)
Naoum Salamé, ingénieur de recherche à l'INRP (Enseignement
à l'environnement et au dévelopement durable)
Michel Hagnerelle, IGEN, doyen du groupe histoire et géographie
Gérard Bonhoure, IGEN sciences de la vie et de la terre
L’éducation à l’environnement
durable (EEDD) constitue désormais une nouvelle composante de la
formation civique et s’appuie résolument de façon
transversale sur les enseignements disciplinaires. Mais l’acquisition
de savoirs et de compétences suffit-elle à constituer une
véritable éducation, susceptible de donner du sens à
certains gestes et à faire évoluer des comportements ? L’EEDD
représente un support de choix pour s’interroger. Les différences
entre les regards portés par les géographes, les biologistes,
les sociologues, les philosophes et bien d’autres – car tous
sont concernés- révèlent la nécessité
d’approches complémentaires et systémiques dans ce
domaine caractérisé par la complexité. Quels objectifs
se fixer ? Quelles sont les possibilités et les limites des enseignements
disciplinaires pris isolément ? Quelle plus-value l’association
des disciplines apporte-t-elle en termes d’éducation ? L’exercice
de la co-disciplinarité est-il suffisant pour atteindre les objectifs
? Quelle fonction fédératrice l’établissement
peut-il avoir ? Suffit-il d’agir à l’intérieur
de l’établissement ? Les ouvertures reposant en particulier
sur des partenariats sont-elles utiles ou nécessaires ?
Enfin, la démarche explorée et les solutions proposés
dans le cadre de l’EEDD peuvent-elles avoir une valeur modélisante
pour les autres « éducations à », comme l’éducation
à la santé ou à la citoyenneté ?
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