INRP - Recherche d'une contribution

Contribution recherchée

Atelier no 2 : A l'ère de l'Europe et de la mondialisation, quelles initiatives institutionnelles et/ou quelles initiatives d'acteurs ?

Titre	La place des séjours Erasmus dans la formation des professeurs des écoles en France.
Auteur(s)	ULMA Dominique

Texte
Cette contribution de recherche est extraite d'une thèse en sciences de l'éducation sur l'Europe à l'école. Partant de données documentaires, expérientielles et d'enquêtes, elle vise à comprendre pourquoi les séjours Erasmus de trois mois restent marginaux en formation des maîtres et à faire des propositions pour un développement des mobilités compatible avec les principes de la formation initiale en France. La méthodologie adoptée repose sur : -La comparaison des offres de formation à l'étranger entre les IUFM de France : quelle place pour des séjours "longs" (3 mois) ? Quels dispositifs ? Quelle évaluation ? Quelques établissements sont plus particulièrement examinés. - Un questionnaire d'évaluation de séjours Erasmus effectués par des professeurs stagiaires : quel est l'impact du séjour sur la construction de l'identité professionnelle du jeune professeur ? - Des entretiens semi-directifs à deux années d'intervalle avec une bénéficiaire d'un séjour Erasmus : que reste-t-il de l'expérience de mobilité une fois effectuée la prise de fonctions ? Les résultats mettent en évidence : - la présence d'obstacles institutionnels et symboliques au développement de formations intégrant des séjours longs, - les apports de ces séjours dans la formation personnelle et professionnelle des jeunes enseignants, - des pistes pour mieux intégrer la mobilité internationale au cursus de formation initiale des professeurs des écoles. Cette recherche peut retenir l'attention des formateurs d'enseignants, des responsables des IUFM, en particulier les Relations Internationales, et de toute personne intéressée par l'ouverture de l'école à la dimension européenne.

Texte

Cette contribution de recherche est extraite d'une thèse en sciences de l'éducation sur l'Europe à l'école. Partant de données documentaires, expérientielles et d'enquêtes, elle vise à comprendre pourquoi les séjours Erasmus de trois mois restent marginaux en formation des maîtres et à faire des propositions pour un développement des mobilités compatible avec les principes de la formation initiale en France.
La méthodologie adoptée repose sur :
-La comparaison des offres de formation à l'étranger entre les IUFM de France : quelle place pour des séjours "longs" (3 mois) ? Quels dispositifs ? Quelle évaluation ? Quelques établissements sont plus particulièrement examinés.
- Un questionnaire d'évaluation de séjours Erasmus effectués par des professeurs stagiaires : quel est l'impact du séjour sur la construction de l'identité professionnelle du jeune professeur ?
- Des entretiens semi-directifs à deux années d'intervalle avec une bénéficiaire d'un séjour Erasmus : que reste-t-il de l'expérience de mobilité une fois effectuée la prise de fonctions ?
Les résultats mettent en évidence :
- la présence d'obstacles institutionnels et symboliques au développement de formations intégrant des séjours longs,
- les apports de ces séjours dans la formation personnelle et professionnelle des jeunes enseignants,
- des pistes pour mieux intégrer la mobilité internationale au cursus de formation initiale des professeurs des écoles.
Cette recherche peut retenir l'attention des formateurs d'enseignants, des responsables des IUFM, en particulier les Relations Internationales, et de toute personne intéressée par l'ouverture de l'école à la dimension européenne.