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Contribution recherchée

Atelier no 5 : Vers une culture du débat. Citoyenneté et démocratie.

Titre	Didactique du grec ancien. Approche psychologique
Auteur(s)	KOUTSOUKOS Anastassios

Texte
La didactique cognitiviste devrait maintenant commencer à remplir le vide qui existe dans le domaine de l'analyse des processus d'enseignement/ apprentissage du grec ancien. Le sujet de notre recherche est l'interlangue élaborée par les élèves grecs qui apprennent le grec ancien. Notre cadre théorique est basé sur les conceptions de: Vergnaud (représentation, didactique, schème, règles d'action), Vygotski (langage), Corder, Noyau, Giacobbe, (interlangue), Fayol (construction du récit), Pottier (communication), Maffre (civilisation), Brunet (accent). Pour cette recherche, l'hypothèse principale est l'hypothèse de l'interlangue, qu'on peut décrire en termes de schèmes, plus précisément en termes de règles de production. Selon les enseignants, les erreurs se situent principalement dans l'apprentissage des noms et des adjectifs de la troisième déclinaison, de l'infinitif, du participe, de l'Aoriste (A et B) etc. Quarante-cinq élèves du lycée d'Athènes ont été éprouvés pendant trois ans avec la même épreuve de thème de grec moderne en grec ancien. Ils ‘inventent' des formes diverses s'approchant plus ou moins de la cible ou de la source, et même ayant, dans certains cas, peu de rapports avec la cible et la source. Des erreurs nombreuses se produisent dans l'apprentissage des noms et des adjectifs de la troisième déclinaison, de l'infinitif, du participe, de l'Aoriste (A et B) etc. L'analyse des protocoles valide l'hypothèse de l'interlangue. Les résultats montrent que l'interlangue s'applique donc au grec ancien et pas seulement aux langues vivantes. L'interlangue est le résultat de l'activité du sujet qui apprend. Ainsi l'interlangue, est un ensemble de schèmes et d'outils qui émerge spontanément au cours de l'apprentissage, et donc, on peut donner quelques caractéristiques en termes de règles.

Texte

La didactique cognitiviste devrait maintenant commencer à remplir le vide qui existe dans le domaine de l'analyse des processus d'enseignement/ apprentissage du grec ancien. Le sujet de notre recherche est l'interlangue élaborée par les élèves grecs qui apprennent le grec ancien.
Notre cadre théorique est basé sur les conceptions de: Vergnaud (représentation, didactique, schème, règles d'action), Vygotski (langage), Corder, Noyau, Giacobbe, (interlangue), Fayol (construction du récit), Pottier (communication), Maffre (civilisation), Brunet (accent).
Pour cette recherche, l'hypothèse principale est l'hypothèse de l'interlangue, qu'on peut décrire en termes de schèmes, plus précisément en termes de règles de production.
Selon les enseignants, les erreurs se situent principalement dans l'apprentissage des noms et des adjectifs de la troisième déclinaison, de l'infinitif, du participe, de l'Aoriste (A et B) etc.
Quarante-cinq élèves du lycée d'Athènes ont été éprouvés pendant trois ans avec la même épreuve de thème de grec moderne en grec ancien. Ils ‘inventent' des formes diverses s'approchant plus ou moins de la cible ou de la source, et même ayant, dans certains cas, peu de rapports avec la cible et la source. Des erreurs nombreuses se produisent dans l'apprentissage des noms et des adjectifs de la troisième déclinaison, de l'infinitif, du participe, de l'Aoriste (A et B) etc. L'analyse des protocoles valide l'hypothèse de l'interlangue.
Les résultats montrent que l'interlangue s'applique donc au grec ancien et pas seulement aux langues vivantes. L'interlangue est le résultat de l'activité du sujet qui apprend. Ainsi l'interlangue, est un ensemble de schèmes et d'outils qui émerge spontanément au cours de l'apprentissage, et donc, on peut donner quelques caractéristiques en termes de règles.