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Contribution recherchée

Atelier no 10 : De nouvelles formes d'évaluation (validation des acquis) vont-elles renouveler les cursus universitaires ?

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Titre	Une formation complémentaire pour les enseignants de l'université est-elle possible ?
Auteur(s)	BENEY Michel / PENTECOUTEAU Hugues

Texte
Le projet de notre intervention est de présenter les enjeux et les contraintes de la formation complémentaire (accompagnement, face-à-face pédagogique, conseil, publications...) des enseignant(e)s et enseignant(e)s-chercheurs des universités. Les réformes et les nouveaux dispositifs d'enseignements conduisent à élargir les fonctions initiales du métier d'enseignant dans le supérieur. La tâche des enseignant(e)s et des enseignant(e)s-chercheurs se complexifie dans le sens où il leur est demandé d'être polyvalent (intégrer les TIC, participer à des jurys de VAE, suivre des étudiants en stage, proposer de nouveaux dispositifs de formation...). Mais ils ne sont pas ou peu formés à cette polyvalence. Si proposer des formations aux enseignants du supérieur semble pertinent (voire indispensable), les modalités de l'offre doivent être interrogées : - par une analyse de la demande de formation et des contraintes des enseignants du supérieur, - par une analyse de la réponse apportée. Pour illustrer nos propos, nous prendrons comme exemple les expériences menées dans une université de taille moyenne (17 000 étudiant(e)s, 950 enseignant(e)s et enseignant(e)s-chercheurs) et pluridisciplinaire. A l'Université de Bretagne Occidentale (Brest), la démarche de formation des enseignant(e)s a été expérimentée en septembre 2001 auprès des nouveaux enseignant(e)s (60)). Elle a été généralisée à l'ensemble des enseignant(e)s et enseignant(e)s-chercheurs depuis septembre 2002 (950). L'analyse de la demande et l'analyse de la réponse sont faites à partir d'un corpus de données quantitatives (questionnaires diffusés auprès des enseignant(e)s, taux de participation aux formations) et qualitatives (évaluation par les enseignant(e)s et par les formateurs(trices) des formations).

Texte

Le projet de notre intervention est de présenter les enjeux et les contraintes de la formation complémentaire (accompagnement, face-à-face pédagogique, conseil, publications...) des enseignant(e)s et enseignant(e)s-chercheurs des universités.
Les réformes et les nouveaux dispositifs d'enseignements conduisent à élargir les fonctions initiales du métier d'enseignant dans le supérieur. La tâche des enseignant(e)s et des enseignant(e)s-chercheurs se complexifie dans le sens où il leur est demandé d'être polyvalent (intégrer les TIC, participer à des jurys de VAE, suivre des étudiants en stage, proposer de nouveaux dispositifs de formation...). Mais ils ne sont pas ou peu formés à cette polyvalence.
Si proposer des formations aux enseignants du supérieur semble pertinent (voire indispensable), les modalités de l'offre doivent être interrogées :
- par une analyse de la demande de formation et des contraintes des enseignants du supérieur,
- par une analyse de la réponse apportée.
Pour illustrer nos propos, nous prendrons comme exemple les expériences menées dans une université de taille moyenne (17 000 étudiant(e)s, 950 enseignant(e)s et enseignant(e)s-chercheurs) et pluridisciplinaire. A l'Université de Bretagne Occidentale (Brest), la démarche de formation des enseignant(e)s a été expérimentée en septembre 2001 auprès des nouveaux enseignant(e)s (60)). Elle a été généralisée à l'ensemble des enseignant(e)s et enseignant(e)s-chercheurs depuis septembre 2002 (950).
L'analyse de la demande et l'analyse de la réponse sont faites à partir d'un corpus de données quantitatives (questionnaires diffusés auprès des enseignant(e)s, taux de participation aux formations) et qualitatives (évaluation par les enseignant(e)s et par les formateurs(trices) des formations).